FRUIITOPIA : la nature prend le dessus

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Une sélection de fruits étranges pour cette collection Fruiitopia…

Ramboutan : originaire d’Asie, le ramboutan est issu de l’arbre Nephelium Iappaceum. Aussi appelé “litchi chevelu”, ce fruit a pour origine étymologique le terme “rambut”, qui signifie “chevelu” en malaisien. Le ramboutan est produit principalement en Thaïlande et en Guyane. Il se déguste frais, séché ou en conserve. Le noyau est également comestible, bien qu’il possède des propriétés narcotiques… Un fruit du bout du monde, empli de poésie et de mystère, qui a inspiré Le French Liquide.

Kiwano : fruit du Cucumis metulifer, le kiwano est également appelé “melano”, “métulon” ou encore “melon à cornes”. Il est principalement cultivé en Afrique centrale, mais aussi en Europe, aux États-Unis et en Nouvelle-Zélande. Il présente un aspect peu commun du fait de sa peau orangée-verte translucide. On raconte même que certaines tribus utilisent ce fruit pour chasser les esprits néfastes !

Jackfruit : aussi appelé “pomme jacque” ou “fruit du pauvre’”, le jackfruit est un fruit polydrupe originaire d’Inde et du Bangladesh. Cultivé majoritairement en Asie du Sud-Est et dans les îles de la Réunion et des Comores, ce fruit atypique fait partie intégrante de l’alimentation dans ces régions du monde. Cru, bouilli ou encore préparé en plat mijoté, ce fruit ravit les papilles de nombreux gourmets à travers la planète. Autre particularité et non des moindres : certaines variétés peuvent atteindre jusqu’à 40 kilos !

Fruit du serpent : également appelé “fruit du cobra” ou “salak”, le fruit du serpent provient d’Indonésie et de Thaïlande. Fruit aux origines préhistoriques, il possède une peau écailleuse mêlant brun et rouge, qui évoque la peau d’un reptile. On le trouve fréquemment sur les étals des marchés locaux. Une fois épluché, il révèle une chair de couleur blanche et jaune, à la texture ferme et au goût complexe.

 

… travaillés en recettes d’e-liquides premium complexes.

Pour le premier e-liquide de cette collection, le ramboutan a été associé à la grenade et au kumquat. En base aromatique, le ramboutan offre une saveur légèrement acidulée, tonique et pleine de vie. Le duo grenade-kumquat apporte une sensation juteuse qui met en relief le ramboutan, doublé d’un twist d’agrume et de sucrosité qui permet d’équilibrer l’ensemble. 

Le second e-liquide Fruiitopia est une recette à base de kiwano et de pamplemousse rose. Le kiwano est sans doute la saveur la plus complexe de cette collection : il se caractérise par des notes de melon, de concombre, voire de banane. Mélangé à un arôme de pamplemousse qui apporte juteux et amertume, le kiwano nous offre toute l’étendue de sa richesse aromatique, entre saveurs tropicales et douceur… 

Vient le 3e e-liquide élaboré autour du jackfruit : ce fruit aux proportions atypiques possède un parfum généreux et mûr avec une belle sucrosité. Son goût est un mélange complexe de plusieurs fruits : ananas, mangue, pomme et banane ! Le French Liquide l’a mélangé à la finesse de la poire et au léger acidulé de la goyave pour en tirer toute sa quintessence. L’ensemble offre une vape aux accents tropicaux : une complexité où chacun des fruits s’exprime avec une identité forte et marquante. 

Enfin, le 4e et dernier e-liquide de la collection à base de fruit du serpent : un beau contraste entre douceur et acidité qui rappelle l’ananas, complété par une discrète saveur de noix. Son goût, entre rafraîchissement et gourmandise, a été associé à un parfum de fraise pour plus de douceur. Le combo de ces deux fruits nous offre un bigoût diablement efficace qui fait penser à un assemblage de plusieurs fruits grâce à la belle complexité du fruit du serpent.


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Les femmes de la vape : Sofia Bendidane

« On ne naît pas femme, on le devient. » Ces mots de la grande Simone lui vont comme un gant. Sa liberté de penser et d’agir, de s’exprimer ou de s’engager, Sofia l’a conquise comme d’autres, mais au prix de défis peut-être un peu plus grands.

Née au Maroc, enfant choyée, elle débarque en France à l’adolescence pour se frotter à une réalité très différente de la carte postale qu’elle avait en tête. Tout bon transfuge vous le dira : Paris n’est pas tendre avec ceux qui ne maîtrisent pas ses codes, a fortiori quand on y a peu, voire pas de repères. Heureusement douée du joli défaut de la curiosité et d’une véritable intelligence sociale, Sofia a su se tracer un chemin bien à elle, guidée par sa bonne étoile.

« Out of the box »

Après des études scientifiques, elle a bifurqué vers la restauration et manage le personnel du plus grand bar à bières de France quand elle débarque en visiteuse, il y a trois ans, dans les allées de Vapexpo Paris. Vapofumeuse depuis 2017, elle s’est intéressée à tout, matos, saveurs, mais n’a pas encore switché pour de bon. Martial, son compagnon alors chargé du développement d’une marque d’e-liquides, lui fait découvrir l’envers pétillant du décor. Ses experts, ses innovations, son ambiance folle, chaleureuse, colorée, lui mettent des paillettes plein les yeux.

Sofia en sort pourtant un peu choquée par certains procédés marketing et s’en ouvre à l’apéro avec franchise et dérision à la petite bande réunie ce soir-là par la magie du salon. Sans qu’elle le sache, l’aventure de La Fine Équipe commence, nourrie par son regard neuf sur le secteur, par l’humour ravageur qui circule et par l’évidence qui, très vite, s’impose : pourquoi ne pas lancer une marque un brin trash et décalée, qui prendrait avec intelligence le contrepied de certains usages, dans la vape comme dans la société, et mettrait le doigt là où ça démange ?

Au menu : des saveurs raffinées, fabriquées en France sans additifs ni colorants, et aux noms gentiment provocateurs, histoire de surprendre les vapoteurs et de secouer les tabous en douceur. La Fine Équipe – qui a gardé le nom du premier groupe de discussion où les amis échangeaient à bâtons rompus sur le projet – puisera aux sources de l’amour grivois. Ses appellations provocantes seront accompagnées d’une légende pour enfoncer le clou de l’humour : « Juste un doigt… Vous ne voulez pas vaper d’abord ? », « La Petite Culotte… Prépare-toi à sortir ton gros set-up », « Ménage à quatre… pour des nuits très vap’hot », « Femme à lunettes… se suffit à elle-même ». Le ton est donné.

Si La Fine Équipe amuse par les appellations de ses produits, elle ne rigole pas lorsqu’il s’agit de composition et de sécurité.

Un jeu très sérieux

Prudente et prévoyante, Sofia ne change pas de fusil d’épaule en un claquement de doigts. Mais, plus qu’une envie, c’est un véritable besoin qu’elle ressent de se frotter à l’univers de la vape, « un milieu qui fait du bien, parce qu’il est fondé sur la santé publique, ce qui change tout dans la construction de soi et d’un projet professionnel ». Au bout de plusieurs mois épuisants durant lesquels elle cumule deux métiers, elle s’écoute et change de vie. Martial décide lui aussi de s’investir pleinement. Quant aux deux derniers cofondateurs, après avoir solidement collaboré à la naissance du projet, ils retournent à leurs bébés d’origine.

Pour mettre à l’honneur les saveurs de leurs gammes d’inspiration florale, exotique, gourmande ou classique réinventé, Sofia et Martial élaborent une communication originale sur les réseaux sociaux, relayée au départ par une communauté de 10 influenceurs à qui le couple propose, dans la foulée, de concevoir « Finger Team », une gamme en binôme.

C’est décidé, ils ne feront rien comme les autres. À eux le peps, le mystère et le piquant du jeu. Et quand on joue, on est toujours très sérieux.

Cultiver la différence

En cheminant hors des sentiers battus, à l’écoute de ses camarades qui ont contribué à la former à son nouveau métier – Martial, Romane et Mathias, ses cofondateurs, Sean, chez Laboravape, qui élabore les recettes avec rigueur et sensibilité, ou Didier, de LGF Formation –, Sofia a repoussé les limites d’un univers encore jeune où, estime-t-elle, il reste beaucoup à faire. Lors de Vapexpo Lille, La Fine Équipe a lancé « Lune de Miel », une saveur inédite, conçue spécialement pour l’apéro. La recette, patiemment élaborée, découle de l’expérience personnelle de Sofia, dont les volutes gourmandes ne matchent pas toujours avec sa boisson préférée. L’équilibre tabac/cacahuète/bacon grillé n’a pas été facile à trouver mais épate quiconque y goûte, même les plus sceptiques !

Franc-parler

Avec son look tatouage imaginé par deux professionnelles, son esprit provoc et son dévoilement savamment orchestré, La Fine Équipe fait mouche immédiatement. Distribuée par Kumulus Vape, la marque intrigue et régale autant qu’elle dérange. « Ce qui m’a le plus touchée, c’est le retour de certaines femmes en shop, qui se trouvaient exposées à des réactions lourdes, voire agressives, d’une partie de leur clientèle. Pas seulement masculine, d’ailleurs ; certaines féministes voyaient du sexisme dans nos appellations et ne comprenaient pas qu’en jouant sur les mots, nous tournons la bêtise en ridicule. »

Intelligemment, La Fine Équipe apporte des réponses en recourant à un système de double étiquetage pour sa gamme placée sous le signe du couple – une apparence sage en cache une autre plus coquine, qu’on révèle en soulevant le voile pudique – et fait preuve de pédagogie en partageant son quotidien sur les réseaux. « Je suis une femme engagée et, à mes yeux, la transparence et l’authenticité sont des valeurs essentielles. Je ne suis pas le visage lisse d’une marque, je montre la vraie vie d’une entrepreneuse, citoyenne et amoureuse, qui interroge les rapports homme/femme. »

Riche de son parcours personnel et professionnel, la nouvelle venue de la vape incarne la réussite à la française, fruit d’une mobilité culturelle et sociale rendue possible par la République et la laïcité, dont Sofia est une fervente défenseuse. « M’adapter à la société française, dont la culture me fascine, a été le plus gros chantier de ma vie, parce que j’ai dû refaire ma propre éducation. J’ai fait le tri, en conservant une exigence : dire ce que je pense. Le message passe, parce que je joue de codes culturels et que cela m’amuse. »

Longue vie à tant de vitalité et d’appétit de l’expérience, ingrédients indispensables à la réussite, dont les plus belles, dans la vape, n’ont évidemment pas manqué !

Qu’il s’agisse de revisiter leurs recettes en version fraîche ou de développer un juice en collaboration avec CDS Lab, La Fine Équipe étonne toujours.

 À la page

Pour accompagner la sortie de « Premier RDV… coup de foudre », « La Corde au cou… un couple d’enfer », « Lune de miel… nuit de noces » et « L’Octogone… toi contre moi », sa dernière gamme qui relate 4 grandes étapes de la vie de couple, Sofia a eu l’idée très originale de publier La Fine Équipe se met à nu, une bande dessinée humoristique signée Yaxx, qui plonge ses lecteurs dans l’intimité, la passion et l’univers de la marque et de ses fondateurs.

Un goodies atypique, loin de la traditionnelle PLV, qui permet de façon unique de rayonner et de créer du lien en shop !



Site officiel de la marque

God save nicotine

L’agence Public Health England et le département de la Santé et des Soins sociaux anglais, équivalent de notre ministère de la Santé, ont commandé une série de rapports sur la cigarette électronique. Le dernier en date s’est intéressé au vapotage de la nicotine. Il s’agissait d’évaluer les risques et dangers qu’il présentait par rapport au tabagisme.

Cette étude a été réalisée par un groupe réunissant des universitaires du King’s College, un établissement d’enseignement supérieur très réputé à Londres, et des collaborateurs internationaux. L’équipe a procédé à une analyse systématique des preuves disponibles. Son rapport, complété par les résultats de tests effectués sur des animaux et des cellules, est présenté comme le plus complet jamais réalisé. Précision importante : seuls les effets à court et moyen termes ont été observés. Il serait utile d’étendre l’expérience au-delà de douze mois.

La vape n’est pas nocive

Que faut-il retenir de ce huitième rapport ? Comme les vapoteurs de la première heure s’en seraient doutés, les risques présentés par le vapotage de la nicotine sont nettement inférieurs à ceux auxquels s’expose le fumeur de tabac. Les biomarqueurs associés au risque de cancer et d’affections respiratoires et cardiovasculaires indiquent que l’exposition aux substances nocives est beaucoup plus faible.

Chez les personnes qui ne fument pas et ne vapotent pas, il n’y a eu aucune augmentation significative des biomarqueurs après une exposition au vapotage de courte durée. Le rapport n’a pas permis de tirer de conclusions définitives sur les changements biologiques qui interviennent dans le corps après une exposition à la vape et au tabac mais d’autres études ont établi que le vapotage n’influait pas sur les biomarqueurs de dommages potentiels.

3,2 millions de vapoteurs

Aux résultats de cette nouvelle étude, il faut ajouter les données fournies par une enquête menée en 2022 en Angleterre auprès de jeunes de 11 à 18 ans. Si le tabagisme (occasionnel et régulier) est en hausse par rapport à 2021 – 6 % contre 4,1 % –, le vapotage (occasionnel et régulier) a connu un « boom » encore supérieur (8,6 % contre 4 %). La communauté des vapofumeurs plébiscitait particulièrement les produits de vapotage : ils étaient 52,8 % à y avoir recours en 2022 contre seulement 7,8 % en 2021.

Cette année-là, on recensait 5,6 à 6,6 millions d’adultes fumeurs chez les sujets de Sa Majesté, sur une population totale de 66 millions d’habitants. Les vapoteurs représentaient 3,2 millions de personnes environ. Sans surprise, les ventes de produits jetables ont explosé (de 2,2 à 15,2 %).

Un risque de dépendance plus faible

Côté arômes, les fruits ont plus la cote que la menthe et le menthol, que ce soit chez les jeunes ou les adultes. À ce stade, les chercheurs tentent d’évaluer les risques que créent les arômes pour la santé du vapoteur mais les cellules apparaissent beaucoup plus sensibles à une exposition à la fumée de tabac.

Les niveaux de nicotine sont inférieurs dans l’univers de la vape et le risque de développer une dépendance à cette substance est plus faible que pour les fumeurs de tabac. Toutefois, les habitudes de consommation du vapoteur (dispositif utilisé, concentration de nicotine dans l’e-liquide, fréquence de vapotage) doivent être prises en compte.

Selon les données fournies par les services d’aide à l’arrêt de la consommation de tabac, les tentatives menées avec la vape ont eu plus de succès que celles menées sans aucun substitut (64,9 % contre 58,6 %).

Le vapotage avec ou sans nicotine est déconseillé aux gens qui n’ont jamais fumé. Ils sont susceptibles de développer une dépendance. Il faut cependant rappeler que c’est le phénomène de combustion et non la nicotine qui crée la plupart des dangers menaçant le fumeur de tabac. En Angleterre, seuls 11 % des adultes fumeurs avaient connaissance de ce fait. De même, seuls 34 % étaient convaincus des bienfaits du vapotage. Le combat pour la santé doit aussi être mené sur le terrain de l’information !

La Chine voit rouge pour les arômes

On connaît la liste des pays où la cigarette électronique est interdite : au printemps dernier, le Mexique a rejoint l’Argentine, le Brésil, l’Inde, la Corée du Nord et le Qatar, entre autres. Il y a aussi ceux où le vapotage dans l’espace public est très encadré. On peut également répertorier, malheureusement, ceux qui, comme la Chine, ont banni certains arômes contenus dans les e-liquides. Depuis le 1er octobre, en effet, il est interdit de vendre des produits de vapotage avec d’autres saveurs que le tabac sur ce marché.

Cela fait plusieurs années que les autorités locales encadrent cette activité. En 2019, la Chine avait interdit la vente de produits de vapotage en ligne. En novembre dernier, l’industrie de la cigarette électronique avait été placée sous le contrôle de l’Administration nationale du monopole du tabac (STMA), qui partage ses locaux avec le fabricant de cigarettes numéro 1 à l’échelle mondiale, devant l’Indonésie : la China National Tobacco Corporation.

Une surveillance et un contrôle renforcés

La STMA avait déjà durci les règles puisque seules les cigarettes électroniques « fermées » et non rechargeables étaient autorisées à la vente sur le territoire chinois. La nicotine synthétique était interdite. La teneur maximale en nicotine d’un e-liquide avait été limitée, par ailleurs, à 20 mg/ml mais cela ne constituait pas un seuil anormalement bas. C’est celui qui a été retenu par l’Union européenne.

Au cours des douze derniers mois, l’activité de gros a fait l’objet d’une surveillance particulière de la part de la STMA. Par deux biais : les transactions de cigarettes électroniques ont été gérées via une plateforme dédiée et un contrôle a été effectué par des unités locales, les produits conçus par les fabricants étant soumis à des examens techniques.

L’interdiction des arômes autres que le tabac pour les e-liquides vendus en Chine aurait dû être effective dès le 1er mai. Il a fallu attendre le feu vert de l’autorité chargée de la réglementation du marché.

Un nombre de licences en baisse

Les chances de voir se développer un marché noir sont assez faibles, la vente illicite faisant l’objet d’une répression sévère. La STMA peut sanctionner les infractions de plusieurs façons : supervision de la fabrication, suspension d’une licence, poursuite d’une entreprise devant les tribunaux.

Les chiffres ne mentent pas et ils indiquent d’ores et déjà un effritement du secteur : si on estime que l’industrie de la vape chinoise regroupait 170 000 entreprises – fabrication et vente confondues –, 190 fabricants et 55 000 détaillants seulement avaient obtenu une licence de la STMA au 6 août, selon le site Sina News. Preuve que l’activité présentait moins d’attrait.

Certains observateurs s’interrogent sur les répercussions de cette décision au niveau international. Pour l’exportation, la Chine n’a fixé qu’une seule règle : les produits devront respecter la législation en vigueur dans le pays de destination. En l’absence de réglementation spécifique, c’est la norme chinoise qui s’imposera.

Innokin et Aquios marchent sur l’eau

Tous les ans, Washington accueille une conférence sur le monde du tabac, le Global Tobacco and Nicotine Forum. Les industriels du secteur profitent de ce rendez-vous dans la capitale américaine pour débattre mais aussi pour décerner des prix. Les Golden Leaf Awards récompensent les meilleures innovations dans le domaine du tabac, de la nicotine et des produits de réduction des risques.

George Xia, cofondateur d’Innokin Technology

La vape à l’honneur

Innokin et Aquios ont ajouté leur nom au palmarès 2022. Les deux firmes, qui s’étaient associées pour développer une technologie de vapotage à base d’eau, se sont vu remettre le prix de « la plus grande avancée en matière d’innovation ». La composition de l’e-liquide mis au point par Innokin et Aquios est sensiblement différente de celle des références traditionnelles : on y trouve jusqu’à 30 % d’eau alors que la limite est généralement fixée à 3 % maximum.

Des bienfaits multiples

Selon Jack Sanders, fondateur d’Aquios, réduire la part de propylène glycol et de glycérine végétale dans l’e-liquide présente plusieurs avantages : le goût est plus pur (la glycérine végétale ajoute une touche sucrée), la stabilité chimique est plus élevée (cela empêche la formation de substances nocives), la déshydratation et l’irritation sont plus faibles (le propylène glycol provoque un assèchement et une contraction de la gorge).

Fabricant historique de matériel, Innokin France a créé une entité, HRP Distribution, pour vendre cette puff novatrice dans le réseau des buralistes. Deux modèles sont commercialisés, la F600 et l’Enviro. Petit avantage de cette dernière : elle peut être démontée, ce qui permet de jeter les différents éléments dans les bacs appropriés.

FRUIITOPIA, partez à la découverte de liquides d’un autre monde


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FRUIITOPIA, monde éloigné de tout sytème, est envahi d’une jungle épaisse, colorée et humide. Parmi une flore aux proportions gigantesques, se cachent les gardiens de fruits extraordinaires. Ces mythiques protecteurs aux allures de fauves ont pour rôle de ne laisser quiconque s’approcher de ces ressources inestimables. Cette collection d’e-liquides FRUIITOPIA nous fait la promesse d’un voyage gustatif au-delà des confins de l’univers aromatique déjà connu.

La collection d’e-liquide où les fruits étranges sont mis à l’honneur

Un univers sauvage et luxuriant vous attend. Emparez-vous des trésors fruités que vous offre la planète FRUIITOPIA. Le Fruit du Serpent, le Kiwano, le Ramboutan et le Jackfruit sont désormais à votre portée. Bon voyage, explorateur.

E-liquide FRUIITOPIA Jackfruit

Originaire d’Inde et du Bangladesh, le “jackfruit” est hors du commun et peut peser jusqu’à 40 kilos ! Doux et sucré, imaginez un mélange d’arômes de fruits tropicaux et vous pourrez ainsi avoir une idée de ce qui vous attend avec le fruit du jacquier. Il a été agrémenté d’un soupçon de poire et de goyave judicieusement dosé. Mais le mieux pour se faire son avis, c’est d’y goûter !

E-liquide FRUIITOPIA Kiwano

Provenant des contrées mystiques d’Afrique centrale, habillé de pics et d’une coquille verte-orangée translucide, le “kiwano” cache un trésor fondant et généreux. Ajoutez-y un soupçon de pamplemousse, fruité à souhait, et laissez-vous porter par votre curiosité.

E-liquide FRUIITOPIA Ramboutan

Un autre trésor de l’Asie. Une épaisse peau coriace couverte d’épines protège ce “litchi chevelu”. Légèrement acidulé, ce fruit est un délice tonique et plein de vie. Le kumquat, à l’expiration, viendra donner un léger twist plus sucré pour une alliance parfaite, tandis que la grenade et le cactus apporteront une sensation de douceur et de juteux.

E-liquide FRUIITOPIA Fruit du Serpent

Sous sa peau écailleuse brun-rouge à l’aspect reptilien, le “salak” est très doux et sucré. Ressentez ce picotement en fin de bouffée, si fidèlement retranscrit. Accompagné d’une note de fraise, l’arôme de ce fruit aux origines préhistoriques gagne encore en puissance.

Une collection composée de 4 e-liquides fruités où des fruits peu communs, provenant d’un autre monde, ont été travaillés. FRUIITOPIA permet aux vapoteurs de sortir des saveurs standardisées que l’on trouve dans la vape et d’explorer un nouvel univers aromatique.

Des flacons d’e-liquides au design évocateur

Il va de soi qu’une pareille collection devait se doter d’une parure du plus bel acabit ! Les étuis et flacons ont été habillés de façon à se projeter dans le monde ésotérique de FRUIITOPIA, mais également à mettre en image leurs univers aromatiques.

« Un design coloré pour mettre en avant les fruits exotiques, un aspect sud-américain rappelant les forêts luxuriantes de l’Amazonie, une créature mi-végétale mi-animale veille sur les e-liquides de la gamme… L’idée était de créer des visuels à la fois naturels et mystérieusement chamaniques », explique Marine, graphiste à l’origine de ces designs ultracolorés.

Jonathan, responsable marketing, ajoute : « Chez Lips, nous prenons à cœur la conception de l’univers autour du produit. En plus de la charte graphique finale du produit, nous travaillons énormément sur l’ambiance, le contexte où évoluera la gamme. Pour FRUIITOPIA, nous avons carrément imaginé une planète ! Toujours inspiré par la pop-culture, le nom de la gamme nous a évoqué la célèbre planète Felucia de Star Wars mais aussi celle de Pandora, tirée d’Avatar. Nous avons alors imaginé une histoire pour mettre en relation ces systèmes extraterrestres et les fauves créés par notre département design. C’est ici que réside une des forces du labo Lips, on est créatif, innovant, on veut sortir du lot et pas copier/coller l’existant, tant en termes d’élaboration aromatique que de design packaging. »


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L’After Puff : le dispositif de sevrage qu’il manquait au monde de la vape

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Nous avons récemment contacté une personne de notre communauté afin qu’elle nous décrive son parcours de sevrage. Son histoire nous a confortés dans cette certitude : l’After Puff a une réelle utilité.

Fermement décidé à arrêter le tabac, ce fumeur s’est d’abord procuré une cigarette électronique “standard”. En bon novice dans la vape, il a été confronté aux problèmes que rencontrent la plupart des primo-vapoteurs : difficulté à utiliser et à comprendre son nouvel appareil, résistances mal amorcées et cramées, goût de brûlé, complexité à choisir son liquide et son taux de nicotine, en plus d’une incompréhension d’un vocabulaire bien trop technique.

Autant de contraintes qui l’ont découragé dans sa démarche, et l’ont poussé à changer de cigarette électronique plusieurs fois, sans compter les nombreuses tentations irrépressibles de s’en griller une ! Démoralisant. Quand on sait que la motivation personnelle est le facteur le plus important dans le sevrage, on est en droit d’attendre mieux comme outil.

Puis vint l’After Puff 

Nous lui avons naturellement proposé d’essayer l’AfterPuff. La difficulté de cet ex-fumeur à poursuivre son sevrage s’apparentait donc à une contrainte technique : manipulation jugée trop complexe pour toutes les raisons évoquées plus haut. L’After Puff, c’est la vape sans toutes ces contraintes. Ce dispositif permet de vapoter directement sans se soucier du changement de résistance ou d’une quelconque maintenance. Une simplicité d’utilisation qui offre une plus grande liberté au vapoteur : le but du jeu, c’est de ne pas se compliquer la vie ; le sevrage étant une épreuve compliquée, il est inutile de s’ajouter des difficultés supplémentaires.

“C’est super simple à utiliser, pourquoi ça n’a pas été inventé plus tôt ?”

Ce fut la première question posée par notre testeur après avoir utilisé la vapoteuse After Puff. Et la réponse était toute trouvée. Les puff bars séduisent par leur simplicité… Le hic, c’est qu’elles présentent de nombreuses caractéristiques qui posent problème : faible longévité évaluée à 800 bouffées, impossibilité de recharger le réservoir (système fermé), batterie non rechargeable, qualité des e-liquides inconnue et taux de nicotine interdits en France.

L’After Puff est une version améliorée de cette e-cig, conçue dans le respect des normes qualitatives et légales :

– elle possède un réservoir ouvert permettant au moins 10 remplissages consécutifs, sans avoir à changer de résistance ou à effectuer une quelconque maintenance ;

– elle possède une longévité de 3 000 bouffées, ce qui équivaut à une quinzaine de jours de consommation pour un vapoteur régulier ;

– son airflow est réglable, ce qui permet d’ajuster en un geste la vapeur selon ses besoins ;

– sa batterie est rechargeable en USB-C, sur une prise secteur ou via un port USB.

Un dispositif “ Welcome dans la vape ”

En résumé, l’After Puff est une cigarette électronique semi-jetable qui permet de faire ses premiers pas dans la vape. Il s’agit d’un nouveau point de départ pour faciliter l’arrêt de la cigarette grâce à sa simplicité d’utilisation. L’objectif premier est de ne pas se décourager à cause d’un matériel trop technique.

4 saveurs sont disponibles : fruits rouges, candy fresh, mango crush et litchi-raisin. Après un temps d’utilisation, le primo-vapoteur n’en sera plus un, et il lui sera plus aisé de poursuivre la vape en se tournant vers des box plus complètes et plus personnalisables.

 


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L’After Puff et sa collection d’e-liquides cocktails

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L’After Puff débarque fin août dans les vapes shops et sur plusieurs sites de vente en ligne. Cette e-cig semi-jetable de dernière génération est une version améliorée de la puff que l’on connaît : davantage de longévité (jusqu’à 3 000 bouffées environ contre 800), possibilité de remplir jusqu’à 10 fois son réservoir là où la puff n’est pas remplissable, et une recharge possible via un câble USB-C. Lips France a choisi de développer une gamme d’e-liquides en complément de ce nouvel appareil : la collection Moonshiners Cocktails.

Une collection d’e-liquides fruités et frais pour accompagner l’After Puff

Lips France ne pouvait pas en rester là et a eu la bonne idée de créer une gamme de 4 e-liquides pour accompagner la sortie de l’After Puff : la collection Moonshiners Cocktails. Si vous ne connaissez pas encore Moonshiners, il s’agit d’une marque du laboratoire Lips France qui a rencontré un certain succès depuis sa sortie en 2020. Des e-liquides aux saveurs originales inspirées des bootleggers, les contrebandiers qui fabriquaient et vendaient des spiritueux durant la Prohibition. C’est donc tout naturellement que la gamme Cocktails de Moonshiners a été créée. Au shaker et pas à la cuillère ! La volonté du laboratoire Lips est d’offrir une gamme de liquides haute en couleur permettant de faciliter le sevrage par le goût.

Au sein de cette collection, nous retrouvons 4 e-liquides inspirés de cocktails :

Candy Fresh : directement inspiré d’un cocktail au bonbon avec une note de fraîcheur. Doux et glacé pour un rafraîchissement garanti !

 

Mango Crush : une mangue charnue avec une belle sucrosité.

 

Fruits rouges : un mix de fruits rouges sauvages.

 

Litchi-Raisin : une saveur juteuse aux accents asiatiques.

3 taux : 0, 10 et 20 mg/ml de sel de nicotine.

Les e-liquides Cocktail Moonshiners sont disponibles en flacon de 10 ml, ou avec les kits After Puff (une e-cig After Puff complète + un des flacons de la gamme).

Un premier laboratoire de test PMTA en Chine

Nouveau coup d’accélérateur dans la course aux PMTA (Premarket Tobacco Application), le feuilleton qui agite la commercialisation des produits de vapotage aux États-Unis depuis près de trois ans. Nécessaire pour qu’un produit puisse être vendu outre-Atlantique, ce sésame visé par la Food & Drug Administration (FDA) est une analyse détaillée de sa composition. Elle doit démontrer qu’il est conforme aux règles en matière de protection de la santé publique. Nous sommes déjà revenus sur la liste des premiers produits autorisés, mais aussi sur les difficultés des petits acteurs à se plier à cet exercice et sur les injonctions des pouvoirs publics à accélérer les vérifications.  

Une première solution pourrait provenir de Chine. Le premier fabricant au monde, Smoore, a annoncé l’ouverture d’un premier laboratoire dans le pays pour procéder à des essais non cliniques. Il vise à « délivrer toutes les preuves exigées pour commercialiser un nouveau produit à base de nicotine, commente l’entreprise, y compris en matière de sécurité des matériaux et de tests toxicologiques ».

Une ouverture à toutes les entreprises locales

Si le laboratoire va évidemment travailler autour des produits de la marque, il reste ouvert à « toute entreprise de vapotage souhaitant pénétrer le marché américain », comme le précise le communiqué de presse. Selon le Dr Long, directeur du nouveau centre d’évaluation, « la FDA est très préoccupée par les HPHC (Harmful and Potentially Harmful Constituents, composants dangereux et potentiellement dangereux), avec une liste de 33 substances qui doivent être testées. Notre nouveau laboratoire peut réaliser tous ces tests et même tester 37 substances. Nous sommes le seul laboratoire en Chine dont les capacités de test couvrent la gamme complète des substances HPHC ».

Huit produits de Smoore ont déjà été approuvés par la FDA, « ce qui montre [qu’elle] approuve les processus de tests utilisés par le nouveau laboratoire en Chine », poursuit-il. La Chine constituant l’essentiel de la production mondiale des produits de vapotage, l’ouverture de ce nouveau laboratoire pourrait bien accélérer l’approbation d’une plus large gamme de produits sûrs, aux États-Unis. À ce stade, Smoore ne précise toutefois pas les conditions d’utilisation de son centre, notamment le type de partenariat qui lierait les candidats à la marque.