D’LICE propose l’essai gratuit de ses sachets de nicotine

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Les saveurs qui raviront vos sens

Découvrez trois saveurs captivantes qui rehaussent l’expérience des nicotine pouches D’LICE by Kapz :

CITRON MENTHE Citron, menthe fraîche et sa bille de saveur à claquer pour booster les arômes. Laissez-vous emporter par le goût acidulé des nicotine pouches D'LICE Citron Menthe !
CITRON MENTHE
POMME MENTHE
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Citron, menthe fraîche et sa bille de saveur à claquer pour booster les arômes.
Laissez-vous emporter par le goût acidulé des nicotine pouches D’LICE Citron Menthe !
Pomme, menthe fraîche et sa bille de saveur à claquer pour une diffusion longue durée. Vivez un moment frais et fruité avec les nicotine pouches D’LICE Pomme Menthe !
Menthol, menthe fraîche et sa bille de saveur pour plus d’intensité. Profitez de l’instant présent et d’une sensation ultra-fraîche avec les nicotine pouches D’LICE by Kapz !

Comment utiliser les sachets de nicotine D’LICE ?

L’utilisation est simple et rapide :

1. Claquez la bille : pour libérer des arômes irrésistibles.
2. Placez sous la lèvre : glissez le sachet sous votre lèvre supérieure pour une diffusion efficace.
3. Laissez agir : profitez instantanément de la nicotine et des arômes pendant environ 30 minutes.

Les avantages incontournables pour les vapoteurs

Avec D’LICE by Kapz, vous vivez chaque instant sans contraintes :

Où vous voulez, quand vous voulez : utilisez les sachets de nicotine D’LICE partout où il est interdit de vapoter : Dans le train, l’avion, sur votre lieu de travail, dans une salle de spectacle…

Pas de vapeur, pas d’odeur : discrétion garantie ! Les sachets ne dégagent aucune vapeur ni odeur, préservant votre tranquillité et celle de votre entourage.

Efficacité instantanée : répondez à vos envies de nicotine instantanément et profitez de cette sensation pendant 30 minutes.

Pas d’électronique : adieu les réglages complexes et les pièces à changer. Les sachets de nicotine D’LICE simplifient votre expérience.

C’est simple et pratique : une fois placé sous votre lèvre, aucun ajustement n’est nécessaire. Profitez de la simplicité d’utilisation des sachets de nicotine D’LICE.

Les retours d’expérience des utilisateurs D’LICE

Ne prenez pas seulement notre mot pour acquis ! Voici ce que nos utilisateurs pensent des sachets de nicotine D’LICE :

« Je pensais que la gestuelle de la vape aurait pu me manquer mais finalement ce n’était pas le cas. Les sachets font bien leur job ! »
– Mathieu L

« J’ai été assez surpris par l’effet de ces produits … Tout d’abord, par la simplicité de leur utilisation et ensuite par leur efficacité. »
– François Xavier D

« Mes enfants ne me voient plus vaper et mon mari est plutôt heureux de ne plus sentir les odeurs de pop corn dans la maison 🙂 »
– Lucie L


EN SAVOIR PLUS

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Sachets de nicotine : une nouvelle option pour les vapoteurs

Les sachets de nicotine D’LICE sont un nouveau produit complémentaire à la vape. Ils s’utilisent partout, même dans les lieux où il est interdit de vapoter ou fumer ! Vous êtes dans le train, l’avion, le bus ou le métro ? Vous débutez une réunion de travail ? Vous assistez à un spectacle ? Emportez votre boîte avec vous et placez un sachet sous votre lèvre supérieure à tout moment. Notre nouveau produit sans tabac ne dégage ni fumée, ni vapeur, ni d’odeur et comble votre besoin de nicotine en 30 minutes ! Pour en savoir plus, lisez l’interview de Norbert Neuvy et Jean-François Douenne, dirigeants de D’LICE.

Le meilleur réuni en un seul sachet

Fabriqués comme des sachets secs, les pouches D’LICE ont été pensés pour s’humidifier instantanément en claquant la bille de saveur. Plus besoin de choisir, avec D’LICE vos clients profitent des avantages des sachets secs et humides en même temps !

1. Longue conservation des sachets
2. Kick de nicotine intense
3. Saveur optimale jusqu’à la DDM

Claquer la bille, quelle satisfaction !

Vos clients apprécieront claquer la bille de saveur D’LICE entre leurs dents, c’est à chaque fois une expérience satisfaisante. Grâce à cette technologie incomparable, les sachets D’LICE offrent :

  • Une diffusion régulière de la nicotine
  • Des arômes boostés
  • Une saveur qui dure longtemps


À RETROUVER SUR VOTRE ESPACE PRO

Une tribune vide

Vingt « personnalités » (toutes réputées hostiles à la vape) demandent, dans une tribune parue dans le quotidien Le Monde, l’interdiction des puff en France, malgré la directive européenne qui prohibera déjà les disposables d’ici 2026. 

Cette demande d’interdiction cache surtout une stratégie plus large visant à restreindre le vapotage et la réduction des risques en général, en introduisant progressivement d’autres mesures répressives. 

Les arguments avancés sont basés sur un sondage qui ne fournit pas de preuves solides et néglige d’autres facteurs – tels que le rôle du tabagisme parental – qui pourraient être nettement plus efficaces pour réduire le tabagisme chez les adolescents.

En Suisse, la taxe coince aussi

Le Groupe romand
d’études sur les
addictions (GRÉA)
s’oppose au projet de
taxe antivape du Conseil
fédéral en Suisse.

Il propose
d’aligner la taxation des
e-liquides nicotinés sur celle
des autres produits sans
combustion, à 6 % du prix
de vente.

Surtout, le groupe
souligne que la taxe proposée
est disproportionnée et
favoriserait le tabagisme.

Ainsi, le GRÉA recommande
de rejeter le projet ou
d’amender la taxe pour qu’elle
respecte la gradation des
risques des différents produits
connexes au tabac.

La puff condamnée à mort ?

Le règlement de l’UE sur les batteries, déjà validé par le Conseil et la Commission, devrait être approuvé par le Parlement européen en juin.

Cette réglementation imposera que tous les appareils portables soient équipés de batteries amovibles et remplaçables par les utilisateurs d’ici fin 2026. 

En conséquence, les puff devraient disparaître du marché. Cette mesure vise à améliorer la circularité et la durabilité des batteries, tout en répondant aux préoccupations environnementales liées à l’utilisation de métaux tels que le lithium et le cobalt.

Belgique : l’arrêté qui nuit à notre santé

En mars 2022, le ministre de la Santé belge présentait la « Stratégie interfédérale 2022-2028 pour une génération sans tabac », avec de grandes promesses à la clé. Parmi celles-ci, son objectif d’éliminer le tabagisme d’ici 2040 est certes ambitieux, mais finalement peu engageant pour l’homme politique… Toutefois, à plus court terme, Frank Vandenbroucke vise à réduire le tabagisme quotidien des adultes de son pays à moins de 10 % d’ici 2028, ce qui représenterait une diminution de plus de la moitié par rapport aux 22 % de fumeurs en Belgique en 2020, selon l’institut Sciensano. 

Une promesse déjà bien plus difficile à tenir, même si le ministre comptait s’appuyer sur l’outil de rupture le plus efficace pour lutter contre le tabagisme : « dans ce souhait d’aider les fumeurs, la cigarette électronique peut, comme toute une série d’autres outils, être utilisée. » 

Cependant, un an après cette annonce, les spécialistes du domaine expriment leur déception et leur frustration. En effet, le 11 janvier dernier, le ministre faisait passer une révision de l’arrêté royal sur les produits du vapotage. Celle-ci prévoit une série de restrictions qui pourraient sérieusement affecter le marché de la cigarette électronique en Belgique. Parmi elles, on compte, entre autres, l’interdiction des arômes autres que le tabac, la prohibition de la vente en ligne de certains produits et l’obligation d’avoir une notification préalable pour chaque nouveau produit mis sur le marché.

La vape prend cher

Au lieu de mettre en place des mesures d’aide aux fumeurs pour les aider à arrêter, des mesures répressives à l’encontre des vapoteurs ont été adoptées. L’interdiction des nicotine pouches et le durcissement de la législation sur le vapotage sont autant de signes d’une approche hostile à la réduction des risques, contrairement aux promesses initiales. 

L’une des principales préoccupations concerne l’interdiction des arômes « attractifs » et des emballages séduisants pour les e-liquides. Alors que cette mesure vise à décourager l’utilisation de ces produits par les jeunes, on peut surtout craindre qu’elle porte atteinte à la liberté de choix des adultes qui souhaitent utiliser les produits de vapotage comme alternative à la cigarette traditionnelle. De plus, cette interdiction risque de pousser les consommateurs vers le marché noir, où la qualité et la sécurité des produits ne sont pas garanties. 

Enfin, l’arrêté royal exige des avertissements de santé exagérés et accaparants sur les emballages des produits de vapotage. Le texte en question : « Ce produit nuit à votre santé ». Peu ou prou, le même que ceux apposés sur les paquets de cigarettes tueuses. Ajoutons à cela que ledit texte doit être écrit en trois langues (français, néerlandais et allemand), et occuper 35 % de la surface de conditionnement. 

Bien que l’information sur les risques potentiels soit importante, ces avertissements largement excessifs créent une atmosphère de peur et de stigmatisation injustifiée autour de la vape. Verra-t-on, bientôt, sur les fioles d’e-liquide belges, l’affirmation : « Vapoter tue » ? Plus que jamais, on en prend le chemin…

Vapo-criminels

Ces mesures restrictives mises en place pour réguler le vapotage
se révèlent être des obstacles qui favorisent indirectement le
tabac, entraînant ainsi un effet protectionniste. Mais les inquiétudes
suscitées par cette révision de la législation ne s’arrêtent pas là.
En effet, la limitation du choix des consommateurs est désormais
accompagnée d’une interdiction totale des achats à distance. Une
modification a été apportée à l’Article 5 de l’arrêté royal, stipulant
de manière explicite que « la vente à distance aux consommateurs et
l’achat à distance par les consommateurs de cigarettes électroniques
et de flacons de recharge sont désormais interdits ». Cette disposition,
dont on comprend difficilement la présence dans un arrêté portant
sur la fabrication et la mise sur le marché des produits de vapotage, suscite des inquiétudes sur le plan juridique, car elle introduit une possible criminalisation des consommateurs à un niveau particulièrement préoccupant

Une taxe maquillée

Même s’il ne s’agit pas (encore) de la taxe tant crainte par les états européens dans leur ensemble, les autorités belges imposent désormais des coûts de notification pour chaque e-liquide, constituant ainsi une énième barrière financière, que ce soit pour les fabricants ou les consommateurs. Ces frais se déclinent en trois redevances distinctes, comme l’a énuméré le ministre de la Santé : « une redevance de 200 euros sera facturée pour l’enregistrement de nouveaux produits. Les modifications apportées aux enregistrements des produits existants seront soumises à une redevance de 100 euros. De plus, chaque produit enregistré devra s’acquitter d’une redevance annuelle de 50 euros. » Comprendre, entre les lignes, qu’en plus des coûts de notification TPD dont les liquidiers belges doivent déjà s’acquitter depuis 2016, ils devront dorénavant y ajouter, chaque année, cinquante euros, par liquide et par taux de nicotine. 

Dans un marché plus étendu, il serait envisageable que ces frais soient intégrés aux coûts de vente, absorbés par le volume global des transactions. Cependant, dans un marché aussi restreint que celui de la Belgique, où le nombre de vapoteurs est estimé à environ 400 000, assumer ces coûts supplémentaires ne sera pas une mince affaire. Par conséquent, il est inévitable que ces surcoûts engendrés par les mesures réglementaires aient un impact direct sur la diversité des arômes et des taux de nicotine disponibles sur le marché belge. Les fabricants et les distributeurs, conscients des contraintes financières induites par ces frais de notification, seront moins enclins à prendre le risque d’enregistrer l’intégralité de leurs gammes de produits. 

Cette réduction drastique de la diversité de l’offre aura pour impact une diminution significative de la capacité à personnaliser l’expérience de vapotage pour chaque utilisateur. Les options disponibles sur le marché seront grandement limitées. Les vapoteurs se trouveront face à un choix restreint en termes de variété d’arômes et de niveaux de nicotine, ce qui pourrait affecter leur satisfaction et leur fidélité à la pratique du vapotage. 

En somme, l’arrêté royal belge sur les produits du vapotage a été
accueilli avec une grande désapprobation par l’industrie de la vape
et les utilisateurs. Cette réglementation excessive, qui restreint
les arômes, impose des avertissements exagérés et augmente
les contrôles et les sanctions, nuit non seulement à l’industrie de
la vape, mais aussi à la liberté de choix des adultes. Il est temps
que le gouvernement belge reconsidère sa position et adopte une
approche plus équilibrée qui reconnaît les bienfaits de la vape pour la
réduction des risques liés au tabagisme

France : les associations montent au créneau

La vape, reconnue comme un outil efficace de réduction des risques liés au tabagisme, est confrontée à un environnement défavorable en France. Des campagnes de dénigrement, des pressions pour l’interdiction des arômes et un projet de surtaxe de la Commission européenne menacent de limiter l’accès à cette alternative moins nocive au tabac. Alors que la révision de la directive TPD et le renouvellement du Plan national de lutte contre le tabagisme sont en cours, les défenseurs de la vape ont lancé une mobilisation pour faire face à ces défis et défendre les droits des utilisateurs.

Une campagne de mobilisation

Alors que le renouvellement du Plan national de lutte contre le
tabagisme (PNLT) est en cours de discussion au plus haut niveau
de l’État, la révision de la TPD est également enclenchée et la
Commission européenne envisage de proposer une taxe antivape
aux États membres de l’Union avant la fin de l’année. C’est dans ce
contexte que les défenseurs de la réduction des risques par le biais
de la vape ont initié un appel à la mobilisation.

Les quatre associations historiques de la vape en France, l’Aiduce,
Sovape, la Vape Du Cœur et la Fivape, ont lancé l’opération
« Merci la vape », une initiative visant à contester les demandes
de suppression des arômes, à rejeter les projets de taxes
supplémentaires, à mettre fin au dénigrement de la vape et à
dénoncer la désinformation. Cette mobilisation, qui s’étend du 31 mai au 30 septembre, comprend une pétition en ligne, un questionnaire détaillé et une campagne d’adhésion à l’Aiduce. Les résultats de cette enquête permettront de publier un livre blanc exhaustif à l’automne, fournissant une base solide d’informations pour contrer les idées préconçues et les fausses représentations concernant la vape. 

En un temps record (12 heures), plusieurs milliers de personnes ont déjà apposé leur signature sur la pétition, manifestant ainsi leur désaccord quant à la suppression des arômes, à l’éventuelle imposition d’une taxe supplémentaire et à la propagation de désinformations.

Protéger l’accès à la vape

L’objectif principal de cette mobilisation est de sensibiliser le
public, les décideurs politiques et les autorités sanitaires sur
l’importance de la vape en tant qu’outil de réduction des risques
liés au tabagisme. Il est crucial de protéger l’accès à cet outil de
rupture et de défendre les droits des utilisateurs. Cela nécessite
une réglementation équilibrée qui tienne compte des preuves
scientifiques solides et de l’expérience des utilisateurs. Les
associations pro-vape s’efforcent de fournir des informations
précises et de combattre les idées préconçues entourant la vape
grâce à la compilation d’un livre blanc exhaustif basé sur les résultats
de leur enquête. L’objectif ultime est de préserver la vape en tant
qu’outil légitime de réduction des risques et de contribuer à la santé
publique

Europe : une taxe pour Noël ?

L’industrie de la vape est confrontée à un possible bouleversement, alors que la Commission européenne envisage de réviser la directive sur les taxes du tabac (TED). Cette initiative, prévue d’être présentée d’ici décembre, soulève des inquiétudes quant à ses implications sur le prix des e-liquides et son impact sur la consommation de produits de vapotage. Alors que les gouvernements autrichien et français soutiennent cette proposition, des interrogations subsistent quant aux conséquences potentielles pour les consommateurs et l’industrie du vapotage dans son ensemble.

Révision des taxes sur le tabac et le snus

Le 25 avril dernier, la Commission européenne aurait annoncé son intention de présenter un projet de révision de la directive sur les taxes du tabac d’ici la fin de l’année, en réponse aux demandes des représentants gouvernementaux autrichiens et français. Ce projet, initialement prévu pour une présentation antérieure, avait été reporté en raison de l’opposition de la Suède. En cause, une proposition de taxe minimale sur le snus, un produit suédois à faible taux de nitrosamines qui a joué un rôle essentiel dans la réduction du tabagisme en Suède. L’adoption de cette révision fiscale pourrait avoir des conséquences significatives sur les prix du snus, et potentiellement sur la consommation de tabac dans les pays de l’Union européenne.

Incertitude concernant les e-liquides de vapotage

D’autres fuites, rapportées par le Financial Times, suggèrent que la
directive sur les taxes du tabac pourrait également inclure une taxe minimale sur les e-liquides de vapotage. Selon ces informations, cette taxe varierait en fonction de la concentration de nicotine, avec des augmentations importantes pour les e-liquides riches en nicotine. Une telle proposition de taxation pourrait doubler le prix des produits à forte teneur en nicotine, ce qui soulève des préoccupations quant à son impact sur les consommateurs, en particulier ceux issus de milieux socio-économiques défavorisés et les gros fumeurs. Parallèlement, sinon paradoxalement, les associations françaises pro-vapotage plaident en faveur d’une réduction de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) appliquée aux produits de la vape, dans le but de rendre ces produits plus accessibles aux consommateurs.

Conséquences potentielles sur la réduction du tabagisme

Si la révision des taxes sur le tabac est adoptée par les 27 états
membres de l’Union européenne, elle pourrait entrer en vigueur à
partir de 2026. Cependant, il est peu probable que l’augmentation
proposée de la taxe sur les cigarettes ait un impact significatif
sur les prix dans les pays voisins, ce qui ne résoudrait pas le
problème des achats transfrontaliers de tabac, et toute l’économie
souterraine qui en découle. Paradoxalement, cette révision fiscale
pourrait avoir un impact négatif sur les consommateurs de produits du vapotage français, en particulier ceux appartenant à des milieux socio-économiques défavorisés. De plus, les expériences passées ont montré que les taxes anti-vape ont souvent conduit à une augmentation de la consommation de tabac. Malgré l’objectif déclaré de la Commission européenne de réduire le taux de fumeurs en dessous de 5 % d’ici 2040, les mesures actuelles risquent d’entraîner une augmentation du tabagisme plutôt que de le réduire.

En résumé, la proposition de révision fiscale de la Commission européenne pour les taxes sur le tabac suscite des préoccupations quant à ses implications sur les prix des cigarettes et des e-liquides, ainsi que sur la consommation de tabac et de produits de vapotage. L’effet réel de cette révision fiscale sur la consommation de cigarettes reste incertain, et les mesures actuelles pourraient ne pas atteindre les objectifs de réduction du tabagisme fixés par la Commission européenne. La décision finale sur cette proposition de révision fiscale aura un impact significatif sur l’industrie du vapotage et sur les consommateurs, et il est crucial de prendre en compte les potentiels effets négatifs sur la réduction du tabagisme avant de mettre en place de nouvelles taxes, qui pourrait conduire les citoyens européens à retourner majoritairement vers le tabac.

Nouvelle gamme de e-liquides ALIENZ… Ils sont parmi nous !

Aujourd’hui, le Laboratoire Sapores vous propose d’explorer des horizons insoupçonnés avec sa collection ALIENZ composée de cinq e-liquides en format 50 ml prêt à booster.

Présentées en 50/50, les recettes fruitées de la gamme ALIENZ osent défier les papilles les plus cartésiennes en invitant les vapoteurs à repousser les frontières de la vape. Riches en saveurs cosmiques, elles ne se contentent pas d’offrir un simple voyage sensoriel, elle vous téléporte littéralement dans un univers immersif qui promet le grand frisson à chaque bouffée.

KOYAMÉ

Préparez-vous à une fascinante rencontre du 3e type avec l’Alienz Koyamé ! Pour déguster cette potion aux baies rouges imprégnées de cristaux de glace, vous devez être prêt à repousser vos propres limites.

RUWA

Laissez-vous ensorceler par les arômes tentaculaires de Ruwa, un élixir intergalactique d’une puissance rare où le fruit du dragon, le litchi et le raisin frais se mélangent en une harmonie exquise. Mais attention, cette boisson mystérieuse pourrait bien vous faire perdre la tête !

PISCO

Une théorie folle circule sur l’Alienz Pisco… cette potion à base de pitaya, de framboise bleue, de mûre et de fraîcheur aurait été créée par les Alienz pour prendre le contrôle de l’esprit humain… Oserez-vous affronter les puissants arômes de cet élixir extraterrestre ?

FALKIR

Plongez au cœur de l’invasion Alienz avec ce mix de melon cosmique et de baies de cassis noires givrées qui vous fera frissonner de plaisir. L’Alienz Falkir vous met au défi de résister à cette vague d’invasion sensorielle… Bon courage !

NIMITZ

Embarquez pour un voyage interstellaire à bord du vaisseau-mère NIMITZ et laissez-vous transporter par les délicieux arômes de la pastèque et de la fraise. Mais attention, cette expérience gustative inédite pourrait bien vous faire perdre le sens de l’orientation et vous faire voyager au-delà des frontières du réel.