Cette box high-end semble très simple de prime abord. Mais, quand on l’observe davantage, que l’on prête attention à ses angles multiples qui lui confèrent diverses nuances en fonction de la lumière qui se reflète sur le revêtement mat de l’appareil, on se rend compte que l’on a affaire à un matériel étudié sous la moindre couture.
Son concepteur, un moddeur grec, a choisi le chipset d’Elvolv, le DNA 75C, pour gérer cette box monoaccu 18 650 d’une puissance maximale de 75 W. Il l’a équipée d’un port mini-USB afin d’ugrader le firmware grâce au logiciel Escribe. Il est aussi possible, ponctuellement, de recharger l’accu par ce biais.
Si vous pouvez, au premier coup d’œil, dire à quoi sert cet atomiseur, c’est que vous connaissez les Billet Box. En effet, ce réservoir reconstructible, développé par Van & Del Design et Todd, est destiné à remplacer les cartouches de ces box AIO, ainsi que de toutes les références du genre pouvant accueillir des Boro R4.
Il est composé d’un plateau de montage double post très simple à coiler, dont les gouttières d’arrivée d’e-liquide permettent de doser et de placer précisément le coton.
Il comporte un airflow horizontal, tout en longueur, dans lequel il est possible de placer un réducteur de tirage. Cela ne permet pas un réglage tout à fait personnalisé. Avec lui, on est plutôt contraint d’avoir systématiquement un tirage RDL.
Au-dessus de ce plateau, la chambre d’atomisation vient se clipser, retenue par des joints toriques. Elle est assez volumineuse, mais restitue néanmoins très bien les saveurs.
Le tout est alimenté en e-liquide par le tank de 4 ml qui surplombe le tout, remplissable par une petite entrée de juice située sur la façade avant et obstruée par un bouchon en silicone. Assurément, un très bon bridge pour box AIO.
Lors de la présentation du budget 2022, le ministre sud-africain des Finances, Enoch Godongwana (photo) avait évoqué la mise en place d’une taxe sur les e-liquides. Les services du Trésor public ont confirmé sa mise en place au 1er janvier 2023, mais ont finalement décidé d’en simplifier le calcul.
On parle désormais de «flat tax », c’est-à-dire d’une taxe unilatérale sur tous les e-liquides, qu’ils contiennent de la nicotine ou non. Le projet précédent prévoyait en effet des droits d’accise plus ou moins élevés selon la présence de nicotine. « Afin de taxer de manière optimale, une option était de se baser sur la quantité de nicotine puis de taxer à un niveau inférieur les produits qui n’en contenaient pas, explique Chris Axelson, directeur de l’analyse fiscale du Trésor public sud-africain. C’était une bonne idée, mais presque tous les pays imposent un taux forfaitaire basé sur le volume de liquide et non la concentration en nicotine. C’est infiniment plus simple. Nous avons finalement retenu un taux d’imposition forfaitaire indépendant de la concentration en nicotine ou de son absence. »
« C’est mieux que rien, mais cela reste trop élevé »
Au final, la taxe sur les e-liquides sera inférieure de 25 % à celle appliquée au tabac combustible. « C’est mieux que rien, mais cela reste trop élevé, commente le Dr Kgosi Letlape, le président de l’Africa Harm Reduction Alliance (AHRA). La taxe doit rendre les e-cigarettes accessibles et abordables. »
Pour l’AHRA, « la différence de taxation ne reflète pas la différence de risques entre les produits ». Kgosi Letlape déplore par ailleurs « l’approche aveugle du ministère de la Santé, qui suit la vision obsolète de l’Organisation mondiale de la santé sur les alternatives de réduction des risques ». En effet, Chris Axelson ne cache pas que le gouvernement sud-africain s’est directement inspiré des consignes de l’OMS, qui « [leur] a offert d’excellentes orientations ».
SvoëMesto est revenu sur le devant de la scène fin 2021 avec la sortie du Kayfun [Lite] Plus. Si l’on peut regretter que ce RTA, de 22 ou 24 mm de diamètre, fasse figure de simple mise à jour du Kayfun [Lite] 2019, les quelques améliorations apportées changent sensiblement la donne en termes de qualité de vape. Nous ne parlons pas ici du nouveau tank en polysulfone incolore, qui lui va pourtant mieux que l’ancien, en PEI jaune. Pas plus que du second top-cap, toujours en polysulfone, qui permet d’augmenter la capacité de stockage en e-liquide en plus de lui donner un look complètement différent.
Non, la vraie innovation, celle qui ne saute pas aux yeux, est cachée dans l’airflow. Celui-ci est toujours réglable en vissant ou dévissant le pin 510. Mais, auparavant, cette vis était toute courte, toute banale. Elle est dorénavant remplacée par le système développé par la marque : l’Aerokon. Il s’agit d’une longue tige qui ressemble un peu à une clé, profilée au poil de nez ! En résulte un tirage restreint des plus agréables, sans aucun sifflement, et qui offre une restitution des saveurs quasi parfaite.
Quant à l’usinage et à la qualité globale du produit, comme toujours, rien à redire. Si ce n’est que, pendant les premiers dévissages du tank pour pouvoir le remplir par le bas, l’utilisateur risque fort de se retrouver avec le tank démonté dans la main plutôt qu’avec le plateau de montage… Une tradition chez SvoëMesto, avec ses joints toriques bien enrobés !
Tous les montages ont été réalisés avec l’excellent coton Cloud9.
Précédent
Suivant
Caractéristiques
Types de vape : MTL
Dimensions : 33 x 22 ou 24 mm (drip-tip inclus)
Contenance réservoir : 4 ou 5 ml (en fonction du tank choisi)
L’alcatraz demande quand même un peu de culture RBA pour pouvoir être apprécié à sa juste valeur. Mais pour celui ou celle qui connaît et apprécie les montages assez « techniques », c’est un terrain de jeu quasi infini.
Pour les novices, il pourrait, en revanche, être assez perturbant. Déjà parce que le montage du coil se fait verticalement. Ça, ça fait des années que l’on n’en voit plus beaucoup. Il faut remonter à la grande époque du Genesis pour trouver nombre de références du genre. Alors, forcément, quand on a vu ce RDA fabriqué en Europe (Islande, France et Italie), à l’usinage parfait, au design élégant, avec son plateau de montage vertical et son réducteur de chambre en ultem poli à la main, on n’a pas résisté et on a ressorti la feuille de mesh.
Résultat : un montage genesis sur nid de coton, et, après un petit rodage, une explosion de saveurs restituées avec une précision dingue, que ce soit en MTL ou en tirage plus direct. Pour cet ato aussi versatile et polyvalent, chapeau au moddeur islandais, Holti Einarsson et à Antonin de Phileas Cloudpour leur très bon travail
Alliancetech Vapor, entreprise française, est connue pour ses Flave, qui forment maintenant toute une collection de RDA et de RDTA. En effet, la marque se montre particulièrement attentive aux retours des utilisateurs, sur lesquels elle s’appuie pour perfectionner continuellement ses produits. C’est d’ailleurs ce qu’elle vient de faire avec son nouveau RDTA, le Flave Tank RS 24, amélioration du Flave Tank 24.
Il s’agit toujours d’un plateau de montage single coil, qui surplombe une cuve de 2 ml. Mais la marque s’est employée à le rendre globalement plus pratique. Ainsi, il dispose d’une connexion pour drip-tips 810 universelle, et d’un port de remplissage sans bouchon, ultra-pratique.
Il s’agit dorénavant d’un trou, percé à côté d’un des deux airflows cyclopes, et bouché par le top-cap qu’il suffit de tourner pour le voir apparaître à travers une entrée d’air. Le plateau de montage a aussi été un poil retravaillé, notamment au niveau des vis, plaquées or, que l’on peut manipuler aussi bien avec un tournevis plat que cruciforme. Coiler était déjà très simple, c’est maintenant enfantin ! Enfin, pour toujours plus de praticité, il est compatible BF en remplaçant le pin 510 par la vis trouée fournie.
Au fil des dix dernières années, notre matériel a énormément évolué. Les box électro ont gagné en efficacité, les accus ont vu leurs performances s’améliorer. Quant aux atomiseurs, leur architecture n’a cessé de s’affiner. Ces derniers ont profité de la modélisation 3D et de la fabrication par CNC (Computer Numerical Control), offrant un usinage bien plus précis, avec une complexité inimaginable auparavant. Dans cet article, nous allons disséquer les caractéristiques des atos et essayer de comprendre pourquoi certains sont plus performants que d’autres au niveau de la restitution des saveurs.
Un atomiseur étant avant tout un dispositif qui permet la vaporisation, on ne peut passer sous silence les clearos. Eux aussi ont sensiblement évolué en termes de rendu de saveurs, principalement grâce à l’utilisation de grilles mesh dans les résistances. Principal atout : une surface de chauffe nettement plus étendue à réactivité quasi instantanée, donc bien plus efficace que les coils en fil simple utilisés précédemment. Ce qui implique plus de liquide vaporisé à chaque chauffe, et donc plus de saveurs.
Mais ce sont les reconstructibles qui ont bénéficié des principales avancées technologiques, chacun de leurs composants ayant été optimisé pour améliorer l’efficacité et la précision du flux d’air balayant le ou les coils pour délivrer les saveurs. Nous allons maintenant les détailler.
Le drip-tip
Souvent négligé, c’est pourtant l’ultime élément qui canalise la vapeur chargée en arômes qu’on aspire. Un orifice trop large par rapport au tirage de l’ato dissipera les saveurs ; à l’inverse, s’il est trop étroit, la vapeur sera souvent trop chaude.
La distance coil(s)/lèvres
C’est incontestablement ce point qui a fait la réputation des RDA (drippers) en termes de restitution des saveurs. Plus cette distance est courte, moins le flux d’air qui aura traversé le coil en se chargeant en saveurs subira les turbulences de l’air aspiré.
On retrouve exactement le même avantage sur les RDTA. C’est aussi ce qui a fait le succès de RTA très compacts (Gear, Mad Hatter, Kree, Druga, Eclipse, Profile M, etc.), leur format permettant de positionner le coil quasiment à la même distance des lèvres qu’un RDA.
La hauteur de la cheminée
Ici, pas de secret, plus haute est la cheminée, plus grande sera la distance coil/lèvres. Ainsi, si une longue cheminée a l’avantage de refroidir une vape trop chaude, elle présente aussi cet inconvénient : la qualité de restitution des saveurs est moindre. Ceci ne concerne évidemment que les RTA, les RDA et RDTA qui en sont dépourvus.
Le volume de la chambre d’atomisation
Selon le même principe, plus une chambre d’atomisation présente un petit volume, plus elle va concentrer les saveurs. Dans certains cas, cet espace est encore réduit par la présence des posts ou des diffuseurs d’airflow plus ou moins imposants.
C’est sur ce point que les RTA compensent le handicap lié à la cheminée : la quasi-totalité disposent d’une chambre bien plus compacte que n’importe quel RDA. Égalité pour les RDTA dont la chambre est délimitée par la taille de l’ato, comme pour les RDA. Il existe toutefois des modèles sur lesquels des réducteurs de chambre sont proposés.
Le Druga, comme le Gear, se distingue par une très faible hauteur de cheminée.
La forme de la cloche
L’air dans la chambre d’atomisation sera bien moins contrarié par une cloche conique ou, mieux, en forme de dôme. En effet, un top-cap non bombé et anguleux augmente inévitablement les turbulences. Or plus de turbulences induit plus de mélange d’air, et donc moins de saveurs. Ici encore, les RTA marquent un point. Ils offrent souvent une forme de cloche optimisée, alors que RDA et RDTA sont contraints par leur volume extérieur, sauf présence de sous-cloche, ce qu’on voit apparaître depuis peu (Nitrous, Recurve V2, etc.), ou de réducteur de chambre (Alcatraz RDA).
À chacun sa cloche : de gauche à doite, conique (Gear), minimale (Nitrous RDA) ou bien bombée (Elite).
Le deck postless
C’est la tendance d’aujourd’hui. La fixation des coils se fait en insérant simplement leurs pattes à l’intérieur des trous percés dans le deck. Le fameux deck type Velocity (du nom du premier dripper Velocity RDA d’Insignia Design Group qui a popularisé cette forme de posts) avec deux plots verticaux imposants a vécu. Là encore, l’absence d’obstacles dans la chambre d’atomisation va réduire les turbulences de l’air qui se traduisent immanquablement par une dilution des saveurs.
L’airflow
Le principe est simple : une fois passé par les airholes, le flux d’air s’élargit avant de balayer le ou les coils et de provoquer des turbulences par rebond sur les différents éléments du deck et de la cloche. Autrement dit, des airholes proches seront plus efficaces en distribuant un flux d’air mieux canalisé sur les coils. À ce jeu, les RTA et RDTA sont souvent gagnants avec un airflow très optimisé et, parfois même, double (side + bottom), alors que la majorité des RDA disposent d’un simple airflow latéral.
Même avec un simple airflow bilatéral comme sur le Destiny RTA, la proximité des airholes améliore incontestablement la perception des saveurs. Les constructeurs en ont d’ailleurs pris conscience. On commence ainsi à voir apparaître des RDA dotés d’un airflow plus sophistiqué (comme le Lost Vape Centaurus Solo), mais on est encore bien loin de ce que les meilleurs RTA proposent.
Les decks. De gauche à droite, dual post bottom airflow (Gear), Velocity (Serpent Mini), dual post side airflow (Druga), et postless (Supreme V3).
Le montage
Un placement judicieux des coils se traduira par une restitution optimale des saveurs. Mieux ils seront positionnés par rapport à l’airflow, meilleur sera le rendu. Même sur RDA, on voit trop souvent des montages dual avec les deux coils centrés, alors qu’en les rapprochant de la cloche et des arrivées d’air, la différence est significative. Attention toutefois, cela peut aussi faire surchauffer le top-cap, ce qui va contrarier la restitution des saveurs.
Mais la position des coils n’est pas la seule donnée importante concernant le montage. Il existe une multitude de fils résistifs (KA1, SS, Ni…), de différentes morphologies (simples, torsadés, clapton, mesh…), qu’il s’agit de sélectionner en cohérence avec le type de liquide utilisé et les attentes en termes de vape. Les fruités demanderont généralement moins de chauffe que les gourmands. Aussi, il faut à tout prix éviter les points chauds, en « équilibrant » le coil (chauffe uniforme, du milieu vers l’extérieur de la bobine). Enfin, une source de discussions infinies : spires collées ou espacées ? À chacun ses goûts.
Le cotonnage
Contrairement à un RDA, qui supporte mieux un cotonnage approximatif en bourrant simplement le coton dans la cuve, un RTA/RDTA se mérite : il implique une phase de découverte durant laquelle on apprend à l’apprivoiser. Si on veut éviter les fuites, il devra être soigné et parfaitement dosé, pour trouver le juste équilibre entre glouglous (remontées de juice sur le deck par manque de coton) et dry-hit (mauvaise imbibition due à une trop grande quantité).
Conclusion
L’expérience aidant, tous ces éléments deviennent familiers et la qualité des montages s’améliore. Il s’agit d’observer attentivement le deck, l’airflow et l’alimentation en juice avant de se lancer dans un montage à l’arrache. Prenez votre temps, vous pourrez ainsi découvrir toutes les qualités de votre ato. Et si vous êtres un inconditionnel pressé, alors restez sur RDA, qui sera sans doute plus adapté…
Certains pourront trouver cela inutile. Après tout, presser une fiole en silicone cachée dans une box, ce n’est pas la mer à boire. Par contre, quand on appuie un peu trop fort, c’est une grosse vague de liquide chaud qu’il faut siroter jusqu’à la lie. Le système de pompe électronique proposé par la Nano S permet de remédier à ce maudit « oversquonking », là où la fiole en silicone est aussi utile qu’un paquebot dans les Alpes. En effet, la technologie YiHi ESS (Electronic Spray System), régulée par le chipset SX681J, offre la possibilité de remplir ou de vider, automatiquement ou manuellement, le dripper.
Le chipset s’occupe de tout
Le système électronique aussi joli que compact, et doté d’une batterie de 900 mAh, permet de dripper en BF sans jamais se demander si le coton est assez imbibé. En mode « advanced », le chipset recueille en effet les informations sur la résistance, les analyse en mode « contrôle de température » et, en cas de besoin, approvisionne automatiquement la cuve du dripper. Autrement dit, le BF, sans ses inconvénients. Il faudra tout de même que l’utilisateur remplisse lui-même le petit réservoir d’e-liquide, situé à la base de la box. Pour ça, YiHi n’a pas encore trouvé la solution…
Une fois le dripper correctement imbibé, le vapoteur n’aura toujours pas à se poser beaucoup de questions. Une seule, en fait : vape froide, normale ou chaude ? Ce sont les trois modes de puissance non-automatiques proposés. Cela peut gêner les aficionados du réglage à 0,1 W près, mais ces trois plages sont largement suffisantes pour la plupart des vapoteurs.
Inséparables
Le kit Nano S est composé de la box du même nom et du dripper ADA v2. Et, à ce sujet, pas d’autre choix que de les associer. L’un sans l’autre ne sert à rien, puisque les dimensions du pas de vis de connexion leur sont singulières.
De plus, il s’agit d’un dripper non-reconstructible, puisque seules les résistances ADA sont utilisables. Inutile donc d’investir dans de l’outillage, à moins d’être vraiment doté d’une dextérité d’orfèvre.
Toutefois, le RDA ADA v2 ne laisse pas trop de place aux regrets : de très bonne facture, il apporte une restitution des saveurs vraiment excellente, qui enchantera même les habitués des drippers références du genre, pour peu qu’ils aiment le tirage serré. Car c’est là où la Nano S peut exclure une partie des vapoteurs, l’airflow est vraiment minuscule, pour tirer une taff, il faut se creuser les joues. A part cela, SX mini a réussi son pari : rendre le BF accessible à presque tous.
Caractéristiques
Types de vape : MTL/RDL
Dimensions : 87,4 x 39
x 17,9 mm (drip-tip inclus)
C’est le principe même de la vape : reproduire avec le plus d’exactitude possible les sensations qu’une cigarette procure, sans la nocivité bien sûr. Le filtre en papier fait partie de l’arsenal que les fabricants utilisent depuis quelque temps pour se rapprocher toujours plus des habitudes des fumeurs.
Le kit Kiwi propose donc ces filtres remplaçables, en plus d’un drip-tip classique. Toujours pour éviter de perturber le vapoteur en transition, ce pod au look de « vape pen » compact est tout léger, ce qui pourrait laisser craindre une autonomie trop restreinte…
L’union fait la force
Heureusement, Kiwi Vapor a pensé aux fins de journée. Ce moment, à la sortie du boulot, où l’envie de se faire plaisir avec une bonne dose de nicotine est à son paroxysme, et où l’on peut se retrouver avec le switch de la batterie qui clignote. Pour éviter toute mauvaise surprise, le kit Kiwi comporte, en plus du pod de 400 mAh, une power bank de 1 450 mAh.
On passe alors à 1 850 mAh, ce qui, pour un pod de ce format, et avec ces résistances, relève de l’exploit. Outre l’aspect pratique de cette extension de batterie, sur laquelle le pod se fixe grâce à des aimants, la marque a particulièrement soigné l’aspect esthétique : l’ensemble est harmonieux. À noter aussi, tant c’est devenu rare : le kit comporte la prise secteur adaptée.
Le pod Kiwi se fond parfaitement dans sa power bank.
Des vibrations superflues ?
Enfin, concernant les cartouches, qui affichent une contenance de 1,8 ml et sont dotées de résistances scellées, pas grand-chose à redire non plus. Elles se remplissent via une petite fenêtre obstruée par un bouchon en silicone. La vape est de bonne qualité, même s’il ne s’agit pas d’un équipement étudié pour une restitution des saveurs optimale, ce n’est pas son but.
Le Kiwi vise davantage à accompagner le fumeur vers l’arrêt du tabagisme, ce qui explique qu’il impose un tirage MTL, et que l’appareil vibre dès lors que l’utilisateur a tiré 20 bouffées, puisque cela correspondrait à une cigarette fumée entièrement. Ce dernier point est discutable d’un point de vue addictologique et nicotinique, mais cela répond à la demande de certains clients, qui, grâce à cette fonction, pourraient atteindre leurs objectifs.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.OkEn savoir plus