Sucralose ou néotame ? Une étude tranche pour la vape

Dans une étude commandée par ELFBAR et LOST MARY et publiée dans la revue scientifique Frontiers, le sucralose et le néotame, deux édulcorants largement utilisés dans le liquide de vapotage de l'industrie, sont évalués pour leur impact sur la libération de métaux lourds et la viabilité des cellules pendant l'utilisation quotidienne des produits de vapotage.

Sucralose ou néotame ? Une étude tranche pour la vape

Les marques de vapotage ELFBAR et LOST MARY ont dévoilé les résultats d’une étude scientifique évaluant l’impact de deux édulcorants couramment utilisés dans les produits de vapotage aromatisés : le sucralose et le néotame. Publiée dans la revue Frontiers, cette étude vise à mieux comprendre les effets de ces additifs sur la libération de métaux lourds et la viabilité cellulaire lors de l’utilisation quotidienne des dispositifs.

Commandée par les deux marques et soumise à l’évaluation par des pairs, l’étude conclut que le néotame présente un profil de sécurité plus favorable que le sucralose. Les analyses montrent notamment que les liquides contenant du néotame génèrent des aérosols avec des concentrations plus faibles en métaux lourds et affichent une toxicité cellulaire moindre. À l’inverse, une corrélation a été observée entre l’augmentation du taux de sucralose et celle des concentrations de métaux lourds dans les aérosols.

À la lumière de ces résultats, ELFBAR et LOST MARY affirment avoir réduit l’usage du sucralose dans leurs formulations, privilégiant le néotame ainsi que d’autres édulcorants bénéficiant d’un meilleur profil toxicologique.

« Cette étude fournit des données scientifiques importantes qui renforcent notre engagement envers des formulations à risque réduit », a déclaré Samuel Fu, directeur de la recherche et du développement chez ELFBAR et LOST MARY. Il précise que ces travaux s’inscrivent dans une démarche continue d’amélioration de la sécurité des produits destinés aux utilisateurs adultes.

Les deux marques soulignent également l’importance des arômes dans la réduction des risques liés au tabagisme, tout en insistant sur la nécessité de renforcer la sécurité des additifs utilisés. Elles annoncent poursuivre leurs recherches sur les édulcorants dans le cadre de protocoles rigoureux mêlant analyses chimiques et tests de cytotoxicité.

*Article tiré du communiqué de presse publié par ELFBAR et LOST MARY