Innokin – Klypse

Le design très épuré de ce pod plaira au plus grand nombre, quand bien même ses caractéristiques le destinent davantage aux débutants. Un capuchon magnétique permet de protéger la cartouche remplissable à résistance scellée.

Caractéristiques

Types de vape : MTL

Dimensions : 94 x 22 x 15,2 mm

Poids : 44 g

Batterie : 700 mAh

Contenance : 2 ml

Résistances : 0,8 Ω

Charge : USB-C 5 V/1 A


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Aspire – Flexus Stik

Ce kit tubulaire est l’occasion idéale pour les débutants de vapoter comme des experts, ne serait-ce que dans la prise en main. En effet, le “switch” se situe sous la batterie, ce qui n’est pas sans rappeler les mods méca. Le clearo est propriétaire, aimanté, remplissable, et les résistances sont amovibles.

Caractéristiques

Types de vape : RDL/MTL

Dimensions : 112,8 x 22 mm

Poids :  55 g

Batterie : 1200 mAh

Contenance : 3 ml

Résistances : AF Mesh colis, 0,6 et 1 Ω

Charge : USB-C 5V/1A

 


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Aspire – Vilter S & Vilter – PB

Ce pod à cartouche jetable est le second modèle de la marque qui propose d’utiliser des filtres en papier. Plus performant que son aîné, cet appareil dispose d’un écran de contrôle et d’un “switch”. Aspire a conçu, spécialement pour lui, une power-bank qui permet de recharger tout en vapotant avec style.

Caractéristiques

Types de vape : MTL

Dimensions Vilter S : 124 x 22,1 x 12,6 mm

Dimensions Vilter-PB : 87 x 45,3 x 21,2 mm

Batterie : 500 mAh

Contenance  : 2 ml

Résistances : AF Mesh colis, 1 Ω 

Charge : USB-C 5V/1 A


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Aspire – Flexus Blok

Le dernier-né de la famille Flexus adopte le format“minibox” pour compléter la gamme. La cartouche vient se loger dans un des angles de l’appareil, en suivant un rail dans lequel elle coulisse avant d’être bloquée par des aimants. Airflow réglable, trois niveaux de puissance et remplissage par le côté.

aspire flexus blok (13)
aspire flexus blok (12)

Caractéristiques

Types de vape : RDL/MTL

Dimensions : 88,5 x 41,6 x 17,5 mm

Poids : 86 g

Batterie : 1200 mAh

Contenance  : 3 ml

Résistances : AF Mesh coils, 0,6 et 1 Ω 

Charge : USB-C 5 V/1A


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Étude : la vape aide les femmes enceintes à arrêter de fumer

La pratique du vapotage durant la grossesse a déjà fait l’objet d’études. On peut notamment citer celle du Royal College of Obstetricians and Gynaecologists dont les résultats étaient rassurants. Publiée en mars 2020, elle tendait à montrer que le poids moyen, à la naissance, des bébés issus de mères exclusivement vapoteuses était identique à celui des bébés nés de femmes non fumeuses. En revanche, les fumeuses accouchaient de bébés dont le poids était 300 grammes inférieur, en moyenne.

Mais rares sont les recherches portant précisément sur la reprise du tabagisme post-partum. Il s’agit pourtant d’un important problème de santé publique, qui toucherait une large majorité de fumeuses ayant arrêté le tabac durant la grossesse. Avec des conséquences désastreuses, à moyen et à long terme, sur la santé des mères et de leurs enfants. Des chercheurs se sont donc penchés sur la question du retour à la cigarette post-partum pour les mères ayant vapoté durant leur grossesse.

26,2 % de reprise post-partum avec la vape, contre 40 % sans

Dirigée par Sophie Orton de l’Université de médecine de Nottingham, mais aussi par des chercheurs des universités de Londres et de Stirling, cette étude vient d’être publiée dans le British Medical Journal. L’équipe a suivi 750 femmes enceintes dans 17 hôpitaux en Angleterre et en Écosse, entre 2017 et 2018. Le point commun entre les 162 femmes finalement retenues ? Elles étaient toutes fumeuses au moins dans les trois mois précédant la grossesse, ou vapoteuses. Et elles ont continué à fumer pendant celle-ci ou se sont rabattues sur la vape pour se sevrer du tabac.

Trois questionnaires leur ont été soumis à différents moments (entre 8 et 26 semaines de grossesse, puis entre 34 et 36 semaines et enfin 3 mois après avoir accouché). Pour les femmes n’ayant jamais vapoté durant leur grossesse (69,4 %), la reprise post-partum est de 40 %. Et pour celles qui ont utilisé la cigarette électronique (30,6 %), le retour au tabac n’est que de 26,2 % après l’accouchement.

Des données encourageantes, que les chercheurs souhaitent voir approfondies à travers d’autres études portant sur un plus large échantillon.

 En France, l’absence cruelle de soutien sur cette question

En France, l’association Sovape a déjà eu l’occasion de souligner le rôle du vapotage pendant la grossesse. Citant une étude plus ancienne menée à Leicester entre 2016 et 2017, elle rappelait que le vapotage avait abouti à un taux d’arrêt réussi de près de 60 % chez les femmes enceintes, contre 32 % pour celles qui privilégiaient les seuls substituts nicotiniques.

Sovape a également rappelé que « la disposition des femmes [à recourir à la vape] pendant la grossesse [était] influencée par les conseils de leurs professionnels de santé ». Ceux-ci semblent pourtant encore très réticents à encourager cette pratique. Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français a même évoqué « des recommandations dangereuses », allant jusqu’à « déconseiller l’initiation ou la poursuite des produits de vapotage pendant la grossesse ».

Une prise de position que le Dr William Lowenstein, spécialiste des addictions, a condamné fermement. S’adressant aux professionnels de la santé, il porte un message clair. « Laissez, sans crainte, les femmes vapoter quand cela leur a permis de se sauver du pire criminel de paix, du pire serial killer que l’Homme ait inventé : le tabac fumé, indiquait-il. L’enfant vous sera éternellement reconnaissant d’éviter, 10 ou 20 ans après sa naissance, à leur mère de mourir d’un infarctus du myocarde, d’un AVC, d’un des nombreux cancers induits par la combustion ou d’une BPCO. Et vous continuerez de faire un des plus beaux “métiers” du monde ».

Le tabac, « un poison pour l’environnement » selon l’OMS

Publié le 31 mai, un rapport de l’OMS intitulé « Le tabac, poison pour notre planète » dresse un bilan environnemental accablant pour l’industrie du tabac. Selon Rüdiger Krech, directeur de l’institution internationale pour la promotion de la santé, il s’agit tout simplement de « l’un des plus grands pollueurs que nous connaissons ».

L’OMS a étudié l’empreinte environnementale de cette industrie, de la récolte des plants à la production des cigarettes, en passant par leur consommation et les déchets générés. Et le constat est « désastreux » à tous les niveaux. Chaque année, l’industrie du tabac serait à l’origine de la destruction de 600 millions d’arbres, de 200 000 hectares de terre, de la perte de 22 milliards de tonnes d’eau et de l’émission de 84 millions de tonnes de CO2. Sans compter qu’elle est aussi responsable, rappelons-le, de plus de 8 millions de décès par an à travers le monde. 

4 500 milliards de filtres chaque année

Dans son rapport, l’OMS souligne que l’empreinte carbone résultant de la production, de la transformation et du transport du tabac équivaut à un cinquième du CO2 émis par l’industrie du transport aérien commercial chaque année, contribuant ainsi au réchauffement climatique.

« Les produits du tabac représentent les principaux déchets sur la planète, et contiennent plus de 7 000 produits chimiques toxiques, qui pénètrent dans notre environnement lorsqu’ils sont jetés, poursuit Rüdiger Krech. Environ 4 500 milliards de filtres à cigarettes polluent nos océans, nos fleuves, nos trottoirs, nos parcs, nos sols et nos plages chaque année. »

Les coûts associés au nettoyage des produits du tabac sont faramineux. Pire, ils incombent aux contribuables plutôt qu’à l’auteur du préjudice, selon l’OMS. Chaque année, la gestion de ces déchets coûterait à la Chine 2,4 milliards d’euros et plus de 185 millions d’euros pour un pays européen comme l’Allemagne. L’Organisation cite la France comme un exemple à suivre, avec l’instauration d’une « législation en matière de responsabilité élargie des producteurs » qui rend l’industrie du tabac responsable du nettoyage de la pollution qu’elle crée. Un principe de « pollueur-payeur » que l’OMS encourage à étendre à la planète.

Déforestation, raréfaction de l’eau, pollution plastique

Mais les méfaits du tabac ne se réduisent pas à la consommation de cigarettes et à la gestion de leurs déchets. Selon l’OMS, près d’un quart des cultivateurs souffrent de la « maladie du tabac vert », un empoisonnement à la nicotine par la peau. Le simple contact avec les feuilles de tabac équivaut pour les cultivateurs à la consommation de 50 cigarettes par jour.

Par ailleurs, “Big Tobacco” serait responsable de 5 % de la déforestation dans le monde et de l’épuisement des réserves d’eau. « Cultivé majoritairement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire », selon l’OMS, le tabac priverait ces régions « d’un besoin vital en eau et en terres agricoles pour la production des denrées alimentaires. »

L’OMS souligne également l’impact des « filtres à cigarettes, qui contiennent des microplastiques et constituent le deuxième type de pollution par les plastiques le plus élevé au monde […] sans pour autant présenter des avantages avérés pour la santé ». Elle enjoint donc les décideurs politiques à les considérer comme « des plastiques à usage unique et à envisager de [les] interdire pour protéger la santé publique et l’environnement ».

Si ce constat est accablant, l’OMS ne manque pas d’évoquer également la menace que représentent « les produits dérivés (tabac sans fumée et e-cigarettes), qui contribuent eux aussi de manière significative à l’accumulation de la pollution plastique dans le monde »

Le Labo Basque : Dogfather Juice

BAD MONDAY (50 ml)

Cola et rondelle de citron, The Real One.

CASH DAY (50 ml)

Cake pistache/noisette, le pêché mignon.

LIL FLOW (50 ml)

Ice tea mangue juteuse et pêche blanche caressé par la douceur de l’abricot, l’essayer c’est l’adopter.

NIGHT FEVER (50 ml)

Gaufrette de notre enfance et pomme d’amour caramélisée, la gourmandise à l’état brut.

PUBLIC ENEMY (50 ml)

Fraise mûre, framboise fraîche, et myrtille sucrée, dangereusement bon.

E-liquides boostés en arômes, vendus en flacon de 70 ml préremplis à 50 ml.

PG/VG : 50/50.


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Étude : plus la vape est encouragée, plus le tabac recule

Des chercheurs de l’Université de Toronto, au Canada, se sont intéressés à l’impact du vapotage sur le marché de la cigarette combustible. Publiée dans le British Medical Journal, leur étude se concentre sur six régions du monde qui autorisent la vape, mais avec des législations plus ou moins restrictives. Il s’agit de quatre provinces canadiennes (Alberta, Ontario, Québec et Colombie-Britannique), mais aussi du Royaume-Uni et de l’Australie.

Les chercheurs ont pris en compte les différences de réglementation sur les produits de vapotage (teneur maximale en nicotine autorisée, âge minimum pour l’achat, autorisation du marketing et de la publicité, taxes…). Ils ont également observé l’évolution de la prévalence tabagique dans chaque région, en s’appuyant sur diverses enquêtes nationales. 

Tour d’horizon, du Canada à l’Australie

Avec un taux de nicotine pouvant aller jusqu’à 66 mg/ml, l’Alberta et l’Ontario sont considérés par les chercheurs comme les environnements les moins restrictifs. C’est dans ces provinces que la baisse de la prévalence tabagique chez les adultes a été la plus rapide : – 3,21 % par an en moyenne. Dans l’Ontario, où la cigarette électronique a été introduite en 2015, la consommation de cigarettes a nettement décru.

Le Québec et la Colombie-Britannique sont considérés comme des « environnements un peu restrictifs ». La prévalence tabagique y a diminué, mais plus lentement, avec 117 cigarettes de moins en moyenne par an et par adulte. 

Avec un taux de nicotine allant jusqu’à 20 mg/ml au maximum, le Royaume-Uni est un environnement plus restrictif, selon les chercheurs. La prévalence tabagique y a baissé de 1,88 % par an en moyenne, chez les jeunes de 16 à 24 ans. En revanche, elle a augmenté de 2,07 % par an entre 2011 (date de l’introduction du vapotage) et 2014.

Enfin, l’Australie est considérée comme l’environnement le plus restrictif, du fait de l’interdiction des e-liquides nicotinés (à moins d’obtenir une prescription médicale). Les chercheurs n’y ont pas détecté de différence notable de la prévalence tabagique, après l’introduction de l’e-cigarette.

D’autres approches à envisager

« Dans les environnements qui facilitent le remplacement des cigarettes par des produits de vape, l’introduction de ces derniers réduit la consommation globale de cigarettes, concluent les chercheurs. Aussi, pour faire baisser le tabagisme, des politiques qui encouragent les adultes à le remplacer par le vapotage devraient être envisagées. »

« Nos résultats, poursuivent-ils, suggèrent que si les cigarettes électroniques peuvent se substituer aux cigarettes fumées, cette transition dépend de l’environnement réglementaire qui régit le vapotage (teneur en nicotine et taxes). C’est dans les contextes où la loi favorise l’adoption des e-cigarettes que le vapotage a entraîné les baisses les plus rapides du tabagisme. À l’inverse, là où l’utilisation des cigarettes électroniques est restreinte, ou la nicotine interdite, le vapotage n’a fait que ralentir le déclin du tabagisme, sans l’accélérer. »

Deux études soulignent l’efficacité de la vape dans le sevrage

L’efficacité de la vape dans le sevrage tabagique est-elle encore à prouver ? Il faut le supposer, à en juger par le silence édifiant des pouvoirs publics. Cela tombe bien, deux équipes de chercheurs viennent de publier les résultats de leurs travaux qui renforcent encore la légitimité de la cigarette électronique. De quoi accélérer enfin la prise en compte du vapotage dans le cadre de la lutte contre le tabagisme ?

La première étude a été menée en Allemagne. Publiée dans la revue médicale Deutsches Ärzteblatt International, elle a consisté à suivre 2 740 fumeurs de 14 à 96 ans et a été conduite de 2016 à 2021. Il s’agissait de comparer l’e-cigarette avec les autres méthodes de sevrage, comme les thérapies de remplacement de la nicotine mais aussi l’arrêt sans autre aide.

Résultat : ceux qui ont privilégié la vape ont 1,78 fois plus de chances d’arrêter de fumer, en moyenne, que ceux qui n’ont bénéficié d’aucun soutien. La vape nicotinée se révèle même 2,34 fois plus efficace que l’arrêt sans substitut, selon l’étude. Face à d’autres méthodes de sevrage, comme les gommes à mâcher, les vapoteurs ont 1,46 fois de plus de chances d’en finir avec la cigarette.

Jusqu’à 7 fois plus de chances d’arrêter avec la vape quotidienne

La seconde étude a été menée par 19 chercheurs de diverses nationalités et a été publiée dans la revue Addictive Behaviors. Elle porte sur 3 516 fumeurs australiens, anglais, canadiens et américains, entre 2016 et 2018.

« Les participants qui ont commencé à vapoter et qui ont continué à le faire quotidiennement ont été près de sept fois plus susceptibles d’arrêter de fumer que ceux qui n’ont pas essayé de vapoter », concluent les auteurs. Une vraie différence, qui démontre l’impact du vapotage dans le cadre du sevrage tabagique.

Parmi les autres études qui soulignent l’efficacité de la vape, on peut également citer celle de Public Health England qui met en avant un taux de succès estimé entre 59,7 % et 74 %. En Australie, des chercheurs évoquent une efficacité moyenne de 96 % pour la vape par rapport à l’arrêt sans aide.