D’LICE et les vapoteurs, solidaires entre eux

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La Vape du Cœur, c’est 8 ans d’action auprès des vapoteurs précaires qui tentent d’arrêter de fumer. D’LICE, c’est 10 ans de fabrication d’e-liquides 100 % made in France. La collaboration des deux donne une opération à succès pour soutenir l’arrêt du tabac des personnes en difficulté. 

Au mois de juin dernier, D’LICE s’est associé à la Vape du Cœur pour récolter des dons. Ce ne sont pas moins de 3 000 flacons qui ont été offerts par D’LICE. La Vape du Cœur s’est ensuite chargée de les redistribuer à ses bénéficiaires. Dans son engagement pour l’accessibilité du sevrage tabagique par la vape, D’LICE envisage déjà une possible nouvelle collaboration. 

Que fait la Vape du Cœur ? 

La Vape du Cœur est une association née en 2014 qui œuvre pour la réduction des risques pour les fumeurs. L’association mène des actions pour permettre aux fumeurs majeurs précaires qui souhaitent se sevrer d’utiliser le vapotage.

Ils fournissent du matériel à ceux qui en ont besoin : des vaporisateurs personnels, des e-liquides et des accessoires. Ils conseillent et accompagnent également les débutants. Soutenue par D’LICE, la Vape du Cœur tente de rendre le sevrage tabagique accessible au plus grand nombre.


Site officiel de D’LICE


Site officiel de la Vape du Coeur

After Puff, la nouveauté qui fera oublier la puff


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Qu’est-ce qu’une After Puff ?

Pour bien définir ce qu’est une « After Puff », il faut commencer par préciser ce qu’est une « puff ».

Une puff est une e-cigarette jetable tout-en-un. De petite taille, la puff est à usage unique : elle est constituée d’un réservoir inamovible et d’une petite batterie. Objets de polémiques diverses, importées de Chine, certaines puffs – que les médias pointent du doigt – sont illégales en France car elles ne respectent pas les normes en vigueur avec notamment un taux de nicotine de 50 mg/ml bien supérieur aux 20 mg/ml autorisés par la loi. Achetées sur Internet par un public qui n’en a nul besoin, elles ont été très prisées par les adolescents et non par les fumeurs en quête de sevrage. Dès lors, la puff, qui par définition devrait être un outil de sevrage, soulève bien des débats : son véritable usage a été détourné et elle contient, pour les cas de figures évoqués plus haut, des e-liquides intraçables/non français, de piètre qualité, et les anciens fumeurs méconnaissent sa réelle utilité.

C’est là que Lips France intervient en créant une toute nouvelle e-cig semi-jetable de seconde génération, plus durable, plus respectueuse de l’environnement, et plus économique pour le consommateur. C’est de cette volonté qu’est née l’AFTER PUFF.

Quelles différences entre puff et After Puff ?

L’After Puff, qu’est ce que c’est ? C’est tout simplement une version améliorée de la puff, plus écologique et plus économique. Elle est conçue pour accompagner les fumeurs en quête de sevrage qui ne veulent pas s’encombrer d’une e-cig trop complexe.

5 avantages notables :

● l’After Puff est semi-jetable : son réservoir est remplissable 10 fois alors que la puff ne l’est pas ;

● la batterie est rechargeable (en USB-C), ce qui n’est pas le cas de la puff ;

● La longévité de l’After Puff est de 3 000 bouffées là où la puff se limite à environ 600 bouffées, soit une durée de vie jusqu’à 5 fois supérieure ;

● l’After Puff contient un e-liquide de fabrication française respectant la loi en vigueur tandis que la puff est remplie d’e-liquide de qualité et d’origine inconnues ;

● l’After Puff est plus légère et compacte que la puff, pour davantage de mobilité et de discrétion.

À qui s’adresse l’After Puff ?

L’After Puff de Lips France s’adresse aux vapoteurs désireux de vapoter sur un appareil simple d’utilisation. Avec l’After Puff, il n’y a aucune manipulation complexe à effectuer pour vapoter : cette e-cig est déjà chargée et utilisable immédiatement. Pas de changement de résistance, de recharge d’accu ou encore de nettoyage de réservoir !

Avec cette e-cig semi-jetable de dernière génération, les vapoteurs profitent pleinement de leur vape sans se soucier du matériel ou d’une quelconque maintenance.


Site officiel

Akira – Nouvelle gamme

Chu – Loyalty : le chugi (ramune), limonade japonaise et revitalisante, est ici mariée à des fruits rouges, notamment ceux du Goumi, et à des citrons verts fraîchement cueillis.

Gi – Integrity : exclusivement originaire de l’île d’Hokkaido,
le duo pastèque Suika et melon Yubari trouve dans le fruit du dragon et les fraises de Toshigi les compères parfaits pour un cocktail détonnant.

Jin – Compassion : les amateurs de fruits rouges apprécieront cette recette mêlant des perles du Japon “tapioca” à une onctueuse
soupe de fraises de Toshigi et de framboises Rubu, le tout recouvert d’un gel de cassis acidulé.

Makoto – Sincerity : pourquoi choisir entre le petit déjeuner et le dessert quand on peut prendre les deux en même temps ? Le Makoto mélange un bol de céréales croquantes avec les fameux mochis glacés, à la vanille.

Rei – Respect : encore une limonade japonaise, cette fois associée aux juteuses cerises du Kanzan, et relevée avec une touche d’aloe vera.

Yu – Courage : la tarte au citron meringuée est revisitée en version japonaise grâce à un crémeux yuzu et citron vert qui coiffe une meringue
et un crumble croustillant.

Caractéristiques

Disponible en flacon de 70 ml prérempli à 40 ml à booster,
PG/VG : 30/70

 


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Secret’s Lab – Movie Juice

Raid : une recette fruitée mariant fraise, framboise, mûre, myrtille et cassis.

Ananas des Caraïbes : un duo de litchi et d’ananas agrémenté de fraîcheur.

Jurassic Fruits : fraise, kiwi et pastèque composent ce mélange vitaminé.

Indiana Pomm’s : échange acidulé entre pomme verte, pomme rouge et citron.

Mangbo : un cocktail réunissant mangue, abricot et citrons jaune et vert.

 

Caractéristiques

Disponible en flacon de 100 ml, sans nicotine
PG/VG : 50/50

 


Site officiel de la marque

High Vaping – Seasons

La 5ème saison : plus qu’un délicieux liquide gourmand composé d’un pop-corn enrobé de vanille crémeuse et saupoudré de fruits à coque, ce juice est aussi l’occasion pour Damien de rendre hommage à son ami, Medhi Chiadmi (CDS Lab), disparu tragiquement il y a quelques mois.

 

Caractéristiques

Disponible en flacon de 70 ml prérempli à 50 ml à booster

PG/VG : 50/50

 


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Toutatis – Ça passe crème

Le Café gourmand : la saveur du cappuccino avec une pointe de noisette, une note de vanille et une touche de caramel.

Les Fraises à la crème : un biscuit aux amandes, surmonté d’un coulis de fraises et d’une crème fouettée.

La Crème coco : une recette où se côtoient crème vanillée et coco, avec en prime un accent de classic boisé.

Le Pop corn caramel : maïs soufflé, caramel et vanille, promesse d’une vape des plus gourmandes.

La Tarte au citron : la restitution du célèbre dessert avec sa pâte brisée.

Caractéristiques

Disponible en flacon de 70 ml prérempli à 50 ml à booster,

PG/VG : 40/60


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SXmini G Class V2, le retour d’une légende

C’est chose faite, avec coup sur coup, une nouvelle SL Class V2 et, surtout, la G Class V2, qui repousse les limites des fonctionnalités que l’on est en droit attendre d’une box moderne, dont certaines jamais vues auparavant. Box de “geek”, sans doute, mais tellement étonnante. On retrouve le look et quasiment les mêmes dimensions et poids que sa devancière (94×48 ×34mm, 150/180 g selon la matière des capots), avec une base 510 toujours généreuse acceptant les atos jusqu’à 32 mm de diamètre. En revanche la trappe à accus, sur charnières à l’origine, a été
remplacée par deux capots latéraux amovibles (disponibles en ABS ou en aluminium) solidement maintenus en place par des aimants.

Sur la face avant, le bouton “Fire” polygonal surplombe l’écran couleur carré, et le joystick – désormais traditionnel – simplifie la navigation et les réglages. Tout en bas, on retrouve le port USB-C chargeant à 2 A  (la G-Class V1 était une des premières à proposer cette connectique).

Une révolution interne

Mais c’est sous le capot que réside l’essentiel des innovations… La G Class V2 s’impose en effet comme la première box à être non seulement dotée de deux processeurs indépendants (un pour la vape, l’autre pour l’interface), mais aussi du WiFi, pour des mises à jour sans fil grandement facilitées.

Quant au tout nouveau chipset YiHi SX750J, dont les performances nous apparaissent toujours aussi remarquables, il est désormais totalement étanche pour résister aux éventuelles coulures de liquide.

Tous les réglages (et ils sont très nombreux sur ce modèle) s’effectuent via une interface web automatiquement reliée à la box une fois l’association faite.

Nous n’allons pas détailler ici les 35 pages de la documentation téléchargeable, le magazine entier n’y suffirait pas. Mais parmi les innombrables fonctions qu’elle intègre, quelques unes retiennent particulièrement notre attention…

Le Smart Boost est devenu intelligent, et s’ajuste en fonction de la vape. Après quelques bouffées, le coil est déjà chaud et n’a plus besoin du même boost que lors du premier puff. On obtient ainsi une vape uniforme, sans coup de chaud même après une série de bouffées. Bien sûr, un ajustement très précis par courbe est aussi proposé et mémorisable.

● Le contrôle de température adopte un algorithme de quatrième génération et a été largement optimisé. Le taux d’échantillonnage
est 4 fois plus élevé qu’avec la génération précédente, et la précision très sensiblement améliorée. La box gère désormais elle même l’échantillonnage précis du coil à froid, et offre un réglage simplifié avec 5 valeurs (Cold, Cool, Normal, Warm, Hot). Le mode TCR est bien évidemment proposé, tout comme l’ajustement de la puissance, les courbes de chauffe, etc. Enfin, en plus du mode “constant” habituel, le mode “dynamique” fera légèrement varier la température par rapport à celle choisie pour un gain de saveurs, tout en tenant compte de la température extérieure.

Le triple compteur de bouffées (global, manuel, journalier) permet de connaître l’usage de la box depuis sa mise en service, le délai moyen pour le changement de coton et la consommation journalière. Seuls les deux
derniers peuvent être réinitialisés, et on peut sélectionner celui qui est affiché à l’écran.

L’interface est entièrement personnalisable : choix de la langue, du fond d’écran, application de photos personnelles, aspect de l’horloge, couleur du texte, luminosité, réglage du logo lumineux au dos, mode jour/nuit, etc.

Notre avis

Véritable vitrine technologique, la G Class V2 surpasse en fonctionnalités et performances la quasi-totalité de l’offre actuelle, avec des innovations jamais vues ailleurs. Il faudra certes un peu de temps pour maîtriser les innombrables réglages, mais l’interface web facilite grandement la tâche.

Caractéristiques

Types de vape : mod électro

Alimentation : 2 x 18650 

Tension de sortie :  0,7V – 6V

Dimensions : 94 x 47,7 x 34,3 mm

Poids : 150/180g selon les capots 

Contrôle de température  : 100°C – 300°C

Écran : couleur TFT IPS 1,3″

Plage de résistances : 0,05 – 3 Ω

Puissance : 200 W

Diamètre d’atonal maximum : 32 mm

Recharge : USB-C 5V/2A

Contrôle de température, enfin au point ?

Si la grande majorité des vapoteurs utilisent le mode “puissance” standard (watts), le contrôle de température (CT) présente de nombreux avantages. Son utilisation a été grandement simplifiée et son efficacité améliorée grâce à l’évolution du matériel et des chipsets. Ainsi, depuis la sortie de l’eGo One CT en 2015, première tentative de démocratisation du concept, ce mode très approximatif à l’origine a beaucoup évolué
pour offrir aujourd’hui une réelle alternative.

La juste mesure

Le mode CT (ou “TC” en anglais) permet de contrôler précisément la température du coil afin de réguler la chaleur de la vape. Comme aucune sonde ni aucun capteur de chaleur ne sont présents dans les atomiseurs, c’est le chipset qui se charge d’estimer la température de la résistance. Pour cela, il calcule les variations de résistivité du coil en fonction de la chaleur, et ajuste automatiquement la puissance. En pratique, une fois le tank vide, un CT efficace empêchera le coil de chauffer hors limite et donc, de brûler le coton, tout en assurant une vape très homogène tout au long de l’utilisation.

Au fil des ans, avec l’évolution des performances des chipsets, la précision de fonctionnement des CT s’est sensiblement améliorée, l’apparition du mode “Replay” sur les DNA250/100/75C marquant une réelle avancée, à l’instar du récent “CT Dynamique de 4e génération”. Entre autres évolutions, on peut citer la fréquence (ou taux) d’échantillonnage.

Il s’agit de l’intervalle de temps entre deux mesures de la résistance. Elle va directement influer sur la précision du calcul : plus elle est élevée (et donc le délai entre deux mesures raccourci), plus efficace sera le contrôle. Parmi les nouveautés du marché sur ce segment, la SXmini G Class v2 est très bien dotée.

Le métal compte

Au niveau de la composition métallique du coil, seuls certains alliages sont utilisables. Ainsi, on ne peut pas faire fonctionner le CT avec du Kanthal ou du Ni80/90, dont la résistivité ne varie pas suffisamment.

À l’origine, le Ni200 se présentait comme la seule option envisageable. Il s’agit d’un fil extrêmement malléable, dont la fragilité compliquait le montage. Autre inconvénient : sa forte teneur en nickel rendait son utilisation impropre pour certains vapoteurs souffrant d’une intolérance allergique à ce métal.

Apparu peu de temps après, le titane, plus rigide et facile d’emploi, semblait être une évolution bienvenue… Jusqu’à ce qu’on s’aperçoive qu’en cas de forte chauffe (lors du rodage par exemple), sa structure changeait au point de libérer des particules dont l’inhalation comportait un risque potentiel (dioxyde de titane). Même si cela n’était vraiment problématique que pour les “rebuilders” (puisque les résistances industrielles n’ont besoin ni de rodage ni de “dry burn”), c’est ce qui explique sa disparition rapide du marché.

Enfin, le SS316L (acier inoxydable) a fait son apparition. Celui-ci possède de nombreuses qualités : outre sa robustesse et ses grandes variations de résistivité, il est aussi utilisable en mode “Watts”. C’est aujourd’hui l’alliage de préférence pour le mode CT.

Un contrôle optimisé

Le CT se pratique essentiellement avec un montage “single coil” (bien que le “dual coil” soit aussi possible), et, bien sûr, avec une box qui propose ce mode. Le coil doit être de préférence en fil simple (le contrôle s’avérant bien moins efficace sur des coils complexes), et les spires espacées, pour que la mesure soit la plus précise possible.

Il faut prendre soin de sélectionner le type de métal sur la box, ce qui ajuste le coefficient de chauffe par défaut et permet au chipset de faire un calcul adapté. Sur certains modèles, on peut aussi ajuster avec précision ce coefficient en mode TCR, les valeurs prédéfinies étant parfois un peu approximatives.

Il est aussi indispensable de verrouiller la résistance initiale à température ambiante avant le premier appui sur “Fire”, ceci afin d’étalonner la valeur de résistance du coil. Selon la composition du liquide, la température choisie sur la box varie entre 200°C et 250°C (plus un juice aura une proportion de VG importante, plus cette valeur devra être élevée). Dans la plupart des cas, il est également possible d’ajuster la puissance, ce qui modifiera la rapidité de montée en température du coil (40-60 W habituellement).

Notre avis

La vape en CT est une expérience à tenter. Ce mode de fonctionnement se révèle particulièrement pertinent pour les amateurs de MTL. Il apporte en effet une sécurité et une homogénéité qui font défaut au mode “puissance” (wattage).

CT, avantages et inconvénients

Avantages : 

• Pas de dry hit possible
• Longévité du coil et du coton
• Autonomie de la batterie
• Constance de vape

Inconvénients : 

• Complexité de mise en œuvre
• Le matériel doit être adapté
• Choix de coil réduit

Seri RDA, jamais deux sans trois

Depuis juillet 2017, date de sortie du premier Dead Rabbit, développé en collaboration avec le reviewer Heaten, Hellvape n’a cessé de remplir les terriers de lapins morts ou obèses. Aujourd’hui, c’est au tour du Seri RDA. Un modèle qui rompt avec la tradition, non seulement par son appellation, mais aussi par son architecture à montage en série. Une spécificité qu’on ne trouve qu’en option et encore, c’est rare sur quelques autres drippers.

Déballage

Une fois la boîte à chemise coulissante ouverte, on découvre le contenu suivant : le dripper, trois coils Fused Clapton Ni80 0,2 Ω, autant de lacets de coton, une cloison pour montage dual, un pin BF, un gabarit de coupe, des outils, des vis et joints de rechange ainsi qu’un manuel.

Comme d’habitude chez Hellvape, la finition n’appelle pas la moindre critique, l’usinage est très propre et la tolérance des joints parfaite. Le drip-tip 810 en delrin noir est assez haut, agréable en bouche mais un peu tristounet d’apparence. La bague d’airflow à rotation contrainte est percée de deux séries de cinq fentes obliques, diamétralement opposées, que l’on pourra aligner avec les ouvertures de la cloche, celle-ci pouvant également tourner sur le plateau jusqu’à une certaine limite, ergots obligent.

En revanche, les contraintes de rotation empêchent de bien aligner les orifices à demi ouverts avec les coils comme sur le Dead Rabbit V3, les deux ne tournant que dans le sens antihoraire. Dommage. L’originalité de ce modèle réside surtout dans son plateau. Celui-ci dispose de six plots en série dotés de vis à tête fendue. Détail notable : les deux plots centraux
sont légèrement surélevés par rapport aux autres, ce qui leur permet de bénéficier d’un flux d’air efficace.

La cuve apparaît suffisamment profonde (6 mm) pour offrir une bonne réserve de juice, et le pin 510, bien isolé, dépasse assez pour envisager une utilisation sur méca hybride.

Montage

Le Seri RDA est ici monté avec les coils Fused Clapton Ni80 liv rés d’origine : 0,45 Ω en dual, 0,73 Ω en triple. Pour une configuration « dual », la cloison métallique devra être fixée sur les plots centraux afin
d’assurer la continuité électrique. Les plots n’étant pas traversants, des pattes de 5 mm permettront de placer les coils à bonne hauteur.

Utilisation

Montage et cotonnage sont très faciles, comme sur tout RDA. Contrairement à ce que l’on observe avec les plateaux classiques, le montage en série va additionner les résistances de chaque coil fixé, la masse de métal ainsi constituée. nécessitant une tension d’utilisation bien supérieure par rapport à d’habitude.

C ’est typiquement un dripper qui conviendra en priorité à un tube méca
stacked (ou box méca avec accus en série), la tension cumulée de 8,4 V étant parfaitement adaptée au montage. Pour qui préfère utiliser une box électro, un modèle double accu s’avérera indispensable et, surtout, avec un chipset assez performant pour sortir une tension suffisante, plus qu’un wattage élevé.

Ouvert à fond, le Seri RDA offre une vape très aérienne, avec un airflow doux et peu bruyant. Seul regret : l’impossibilité d’aligner correctement les orifices sur les coils quand on ferme à 50 %. En faisant tourner la cloche, on arrose le coton, mais pas les coils… Reste que les saveurs sont très bien restituées, aussi bien en configuration dual que triple, grâce aussi au coil central, judicieusement surélevé par rapport aux autres.

Notre avis

Un RDA original et efficace, qui bénéficie d’une belle qualité de fabrication. Le Seri est doté d’un système d’airflow qui remplit son rôle et offre un très bon rendu de saveur. Son montage en série, qui change de la production habituelle, en fait un dripper idéal pour box ou tubes méca série et, plus globalement, pour les amateurs de grosse vape.

Dimensions : 39,1 x 26mm

Poids : 51g

Drip-tip : 810

Pin BF : fourni

Le Seri RDA permet de réaliser des montages triple coil en série. Il autorise également les montages dual coil, qui imposent l’utilisation d’une cloison métallique.
Le montage en série triple coil : R (total) = RA +RB +RC

 Montage en parallèle ou en série, qu’est-ce que ça change ?

Sur un plateau classique à montage en parallèle, la tension injectée dans le circuit est identique lorsqu’elle arrive simultanément à chaque coil,
alors que l’intensité délivrée à chacun est divisée
par le nombre de coils.

À l’inverse, sur un plateau à montage en série, le courant traverse chaque coil l’un après l’autre, et la tension reçue par chacun est divisée par le nombre de coils, tandis que l’intensité reste constante.

Les coils en série se comportent en fait comme un gros coil unique. Sachant que la plage de tension idéale pour le “sweet spot” d’un coil est de 3,6 à 4,2 V, ceci implique une tension requise de 7,2 à 8,4 V en dual, et de 10,8 à 12,6 V en triple.

Une box ou un tube méca additionnant les tensions des accus, le montage série est donc idéal et permet d’obtenir plus facilement la résistance minimale recommandée (0,5 Ω en double accu, 0,8 Ω en triple accu). En revanche, ça limite aussi le choix en matière de box électro, car peu d’entre elles sont capables de délivrer cette tension.


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