Aspire – Flexus Blok

Le dernier-né de la famille Flexus adopte le format“minibox” pour compléter la gamme. La cartouche vient se loger dans un des angles de l’appareil, en suivant un rail dans lequel elle coulisse avant d’être bloquée par des aimants. Airflow réglable, trois niveaux de puissance et remplissage par le côté.

aspire flexus blok (13)
aspire flexus blok (12)

Caractéristiques

Types de vape : RDL/MTL

Dimensions : 88,5 x 41,6 x 17,5 mm

Poids : 86 g

Batterie : 1200 mAh

Contenance  : 3 ml

Résistances : AF Mesh coils, 0,6 et 1 Ω 

Charge : USB-C 5 V/1A


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Étude : la vape aide les femmes enceintes à arrêter de fumer

La pratique du vapotage durant la grossesse a déjà fait l’objet d’études. On peut notamment citer celle du Royal College of Obstetricians and Gynaecologists dont les résultats étaient rassurants. Publiée en mars 2020, elle tendait à montrer que le poids moyen, à la naissance, des bébés issus de mères exclusivement vapoteuses était identique à celui des bébés nés de femmes non fumeuses. En revanche, les fumeuses accouchaient de bébés dont le poids était 300 grammes inférieur, en moyenne.

Mais rares sont les recherches portant précisément sur la reprise du tabagisme post-partum. Il s’agit pourtant d’un important problème de santé publique, qui toucherait une large majorité de fumeuses ayant arrêté le tabac durant la grossesse. Avec des conséquences désastreuses, à moyen et à long terme, sur la santé des mères et de leurs enfants. Des chercheurs se sont donc penchés sur la question du retour à la cigarette post-partum pour les mères ayant vapoté durant leur grossesse.

26,2 % de reprise post-partum avec la vape, contre 40 % sans

Dirigée par Sophie Orton de l’Université de médecine de Nottingham, mais aussi par des chercheurs des universités de Londres et de Stirling, cette étude vient d’être publiée dans le British Medical Journal. L’équipe a suivi 750 femmes enceintes dans 17 hôpitaux en Angleterre et en Écosse, entre 2017 et 2018. Le point commun entre les 162 femmes finalement retenues ? Elles étaient toutes fumeuses au moins dans les trois mois précédant la grossesse, ou vapoteuses. Et elles ont continué à fumer pendant celle-ci ou se sont rabattues sur la vape pour se sevrer du tabac.

Trois questionnaires leur ont été soumis à différents moments (entre 8 et 26 semaines de grossesse, puis entre 34 et 36 semaines et enfin 3 mois après avoir accouché). Pour les femmes n’ayant jamais vapoté durant leur grossesse (69,4 %), la reprise post-partum est de 40 %. Et pour celles qui ont utilisé la cigarette électronique (30,6 %), le retour au tabac n’est que de 26,2 % après l’accouchement.

Des données encourageantes, que les chercheurs souhaitent voir approfondies à travers d’autres études portant sur un plus large échantillon.

 En France, l’absence cruelle de soutien sur cette question

En France, l’association Sovape a déjà eu l’occasion de souligner le rôle du vapotage pendant la grossesse. Citant une étude plus ancienne menée à Leicester entre 2016 et 2017, elle rappelait que le vapotage avait abouti à un taux d’arrêt réussi de près de 60 % chez les femmes enceintes, contre 32 % pour celles qui privilégiaient les seuls substituts nicotiniques.

Sovape a également rappelé que « la disposition des femmes [à recourir à la vape] pendant la grossesse [était] influencée par les conseils de leurs professionnels de santé ». Ceux-ci semblent pourtant encore très réticents à encourager cette pratique. Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français a même évoqué « des recommandations dangereuses », allant jusqu’à « déconseiller l’initiation ou la poursuite des produits de vapotage pendant la grossesse ».

Une prise de position que le Dr William Lowenstein, spécialiste des addictions, a condamné fermement. S’adressant aux professionnels de la santé, il porte un message clair. « Laissez, sans crainte, les femmes vapoter quand cela leur a permis de se sauver du pire criminel de paix, du pire serial killer que l’Homme ait inventé : le tabac fumé, indiquait-il. L’enfant vous sera éternellement reconnaissant d’éviter, 10 ou 20 ans après sa naissance, à leur mère de mourir d’un infarctus du myocarde, d’un AVC, d’un des nombreux cancers induits par la combustion ou d’une BPCO. Et vous continuerez de faire un des plus beaux “métiers” du monde ».

Le tabac, « un poison pour l’environnement » selon l’OMS

Publié le 31 mai, un rapport de l’OMS intitulé « Le tabac, poison pour notre planète » dresse un bilan environnemental accablant pour l’industrie du tabac. Selon Rüdiger Krech, directeur de l’institution internationale pour la promotion de la santé, il s’agit tout simplement de « l’un des plus grands pollueurs que nous connaissons ».

L’OMS a étudié l’empreinte environnementale de cette industrie, de la récolte des plants à la production des cigarettes, en passant par leur consommation et les déchets générés. Et le constat est « désastreux » à tous les niveaux. Chaque année, l’industrie du tabac serait à l’origine de la destruction de 600 millions d’arbres, de 200 000 hectares de terre, de la perte de 22 milliards de tonnes d’eau et de l’émission de 84 millions de tonnes de CO2. Sans compter qu’elle est aussi responsable, rappelons-le, de plus de 8 millions de décès par an à travers le monde. 

4 500 milliards de filtres chaque année

Dans son rapport, l’OMS souligne que l’empreinte carbone résultant de la production, de la transformation et du transport du tabac équivaut à un cinquième du CO2 émis par l’industrie du transport aérien commercial chaque année, contribuant ainsi au réchauffement climatique.

« Les produits du tabac représentent les principaux déchets sur la planète, et contiennent plus de 7 000 produits chimiques toxiques, qui pénètrent dans notre environnement lorsqu’ils sont jetés, poursuit Rüdiger Krech. Environ 4 500 milliards de filtres à cigarettes polluent nos océans, nos fleuves, nos trottoirs, nos parcs, nos sols et nos plages chaque année. »

Les coûts associés au nettoyage des produits du tabac sont faramineux. Pire, ils incombent aux contribuables plutôt qu’à l’auteur du préjudice, selon l’OMS. Chaque année, la gestion de ces déchets coûterait à la Chine 2,4 milliards d’euros et plus de 185 millions d’euros pour un pays européen comme l’Allemagne. L’Organisation cite la France comme un exemple à suivre, avec l’instauration d’une « législation en matière de responsabilité élargie des producteurs » qui rend l’industrie du tabac responsable du nettoyage de la pollution qu’elle crée. Un principe de « pollueur-payeur » que l’OMS encourage à étendre à la planète.

Déforestation, raréfaction de l’eau, pollution plastique

Mais les méfaits du tabac ne se réduisent pas à la consommation de cigarettes et à la gestion de leurs déchets. Selon l’OMS, près d’un quart des cultivateurs souffrent de la « maladie du tabac vert », un empoisonnement à la nicotine par la peau. Le simple contact avec les feuilles de tabac équivaut pour les cultivateurs à la consommation de 50 cigarettes par jour.

Par ailleurs, “Big Tobacco” serait responsable de 5 % de la déforestation dans le monde et de l’épuisement des réserves d’eau. « Cultivé majoritairement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire », selon l’OMS, le tabac priverait ces régions « d’un besoin vital en eau et en terres agricoles pour la production des denrées alimentaires. »

L’OMS souligne également l’impact des « filtres à cigarettes, qui contiennent des microplastiques et constituent le deuxième type de pollution par les plastiques le plus élevé au monde […] sans pour autant présenter des avantages avérés pour la santé ». Elle enjoint donc les décideurs politiques à les considérer comme « des plastiques à usage unique et à envisager de [les] interdire pour protéger la santé publique et l’environnement ».

Si ce constat est accablant, l’OMS ne manque pas d’évoquer également la menace que représentent « les produits dérivés (tabac sans fumée et e-cigarettes), qui contribuent eux aussi de manière significative à l’accumulation de la pollution plastique dans le monde »

Le Labo Basque : Dogfather Juice

BAD MONDAY (50 ml)

Cola et rondelle de citron, The Real One.

CASH DAY (50 ml)

Cake pistache/noisette, le pêché mignon.

LIL FLOW (50 ml)

Ice tea mangue juteuse et pêche blanche caressé par la douceur de l’abricot, l’essayer c’est l’adopter.

NIGHT FEVER (50 ml)

Gaufrette de notre enfance et pomme d’amour caramélisée, la gourmandise à l’état brut.

PUBLIC ENEMY (50 ml)

Fraise mûre, framboise fraîche, et myrtille sucrée, dangereusement bon.

E-liquides boostés en arômes, vendus en flacon de 70 ml préremplis à 50 ml.

PG/VG : 50/50.


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Étude : plus la vape est encouragée, plus le tabac recule

Des chercheurs de l’Université de Toronto, au Canada, se sont intéressés à l’impact du vapotage sur le marché de la cigarette combustible. Publiée dans le British Medical Journal, leur étude se concentre sur six régions du monde qui autorisent la vape, mais avec des législations plus ou moins restrictives. Il s’agit de quatre provinces canadiennes (Alberta, Ontario, Québec et Colombie-Britannique), mais aussi du Royaume-Uni et de l’Australie.

Les chercheurs ont pris en compte les différences de réglementation sur les produits de vapotage (teneur maximale en nicotine autorisée, âge minimum pour l’achat, autorisation du marketing et de la publicité, taxes…). Ils ont également observé l’évolution de la prévalence tabagique dans chaque région, en s’appuyant sur diverses enquêtes nationales. 

Tour d’horizon, du Canada à l’Australie

Avec un taux de nicotine pouvant aller jusqu’à 66 mg/ml, l’Alberta et l’Ontario sont considérés par les chercheurs comme les environnements les moins restrictifs. C’est dans ces provinces que la baisse de la prévalence tabagique chez les adultes a été la plus rapide : – 3,21 % par an en moyenne. Dans l’Ontario, où la cigarette électronique a été introduite en 2015, la consommation de cigarettes a nettement décru.

Le Québec et la Colombie-Britannique sont considérés comme des « environnements un peu restrictifs ». La prévalence tabagique y a diminué, mais plus lentement, avec 117 cigarettes de moins en moyenne par an et par adulte. 

Avec un taux de nicotine allant jusqu’à 20 mg/ml au maximum, le Royaume-Uni est un environnement plus restrictif, selon les chercheurs. La prévalence tabagique y a baissé de 1,88 % par an en moyenne, chez les jeunes de 16 à 24 ans. En revanche, elle a augmenté de 2,07 % par an entre 2011 (date de l’introduction du vapotage) et 2014.

Enfin, l’Australie est considérée comme l’environnement le plus restrictif, du fait de l’interdiction des e-liquides nicotinés (à moins d’obtenir une prescription médicale). Les chercheurs n’y ont pas détecté de différence notable de la prévalence tabagique, après l’introduction de l’e-cigarette.

D’autres approches à envisager

« Dans les environnements qui facilitent le remplacement des cigarettes par des produits de vape, l’introduction de ces derniers réduit la consommation globale de cigarettes, concluent les chercheurs. Aussi, pour faire baisser le tabagisme, des politiques qui encouragent les adultes à le remplacer par le vapotage devraient être envisagées. »

« Nos résultats, poursuivent-ils, suggèrent que si les cigarettes électroniques peuvent se substituer aux cigarettes fumées, cette transition dépend de l’environnement réglementaire qui régit le vapotage (teneur en nicotine et taxes). C’est dans les contextes où la loi favorise l’adoption des e-cigarettes que le vapotage a entraîné les baisses les plus rapides du tabagisme. À l’inverse, là où l’utilisation des cigarettes électroniques est restreinte, ou la nicotine interdite, le vapotage n’a fait que ralentir le déclin du tabagisme, sans l’accélérer. »

Deux études soulignent l’efficacité de la vape dans le sevrage

L’efficacité de la vape dans le sevrage tabagique est-elle encore à prouver ? Il faut le supposer, à en juger par le silence édifiant des pouvoirs publics. Cela tombe bien, deux équipes de chercheurs viennent de publier les résultats de leurs travaux qui renforcent encore la légitimité de la cigarette électronique. De quoi accélérer enfin la prise en compte du vapotage dans le cadre de la lutte contre le tabagisme ?

La première étude a été menée en Allemagne. Publiée dans la revue médicale Deutsches Ärzteblatt International, elle a consisté à suivre 2 740 fumeurs de 14 à 96 ans et a été conduite de 2016 à 2021. Il s’agissait de comparer l’e-cigarette avec les autres méthodes de sevrage, comme les thérapies de remplacement de la nicotine mais aussi l’arrêt sans autre aide.

Résultat : ceux qui ont privilégié la vape ont 1,78 fois plus de chances d’arrêter de fumer, en moyenne, que ceux qui n’ont bénéficié d’aucun soutien. La vape nicotinée se révèle même 2,34 fois plus efficace que l’arrêt sans substitut, selon l’étude. Face à d’autres méthodes de sevrage, comme les gommes à mâcher, les vapoteurs ont 1,46 fois de plus de chances d’en finir avec la cigarette.

Jusqu’à 7 fois plus de chances d’arrêter avec la vape quotidienne

La seconde étude a été menée par 19 chercheurs de diverses nationalités et a été publiée dans la revue Addictive Behaviors. Elle porte sur 3 516 fumeurs australiens, anglais, canadiens et américains, entre 2016 et 2018.

« Les participants qui ont commencé à vapoter et qui ont continué à le faire quotidiennement ont été près de sept fois plus susceptibles d’arrêter de fumer que ceux qui n’ont pas essayé de vapoter », concluent les auteurs. Une vraie différence, qui démontre l’impact du vapotage dans le cadre du sevrage tabagique.

Parmi les autres études qui soulignent l’efficacité de la vape, on peut également citer celle de Public Health England qui met en avant un taux de succès estimé entre 59,7 % et 74 %. En Australie, des chercheurs évoquent une efficacité moyenne de 96 % pour la vape par rapport à l’arrêt sans aide.

La FDA veut faire la chasse au menthol

Voilà douze ans que l’idée faisait son chemin. La Food & Administration (FDA) a finalement publié son projet de loi visant à interdire les cigarettes au menthol aux États-Unis, mais aussi tous les arômes dans les cigares.. Remisé au placard durant le mandant de Trump, puis réintroduit sous l’administration Biden, ce plan entre en consultation publique du 4 mai au 5 juillet. Ces nouvelles règles « contribueront à éviter que les enfants ne deviennent la prochaine génération de fumeurs et aideront les adultes fumeurs à arrêter », a déclaré Xavier Becerra, secrétaire à la Santé et aux Services sociaux. 

Pas de conséquences sur la vape… pour l’instant

Étrangement, la vape est pour l’instant absente de tous les discours. Dans son communiqué de presse, la FDA « reconnaît l’importance d’assurer un accès large et équitable à tous les outils et ressources qui peuvent aider les fumeurs à se sevrer ». L’agence poursuit en rappelant que les nouvelles actions « peuvent réduire de manière significative les maladies et décès liés à l’utilisation du tabac avec combustion »

Mais, à en croire les responsables des associations américaines qui défendent la vape, l’avenir ne serait pas si clément. « Il y avait un certain optimisme sur le fait que si la FDA annonçait une interdiction des cigarettes au menthol, elle serait précédée d’annonces positives sur les produits de réduction des méfaits au menthol, déclare Gregory Conley, le président de l’American Vaping Association. Malheureusement, la FDA continue de montrer que son engagement supposé en faveur d’une réglementation complète de la nicotine et du tabac n’est en réalité qu’une excuse de plus pour interdire davantage de produits. » Une occasion manquée de mettre en avant l’intérêt de la vape, le sujet étant passé sous silence.

Vers un dangereux marché noir ?

Le projet de loi suscite une autre crainte : celle de laisser la porte ouverte à une réglementation de la vape “par le bas”, pour s’aligner avec cette nouvelle interdiction. En clair, ne se dirige-t-on pas vers un futur bannissement des e-liquides au menthol, les seuls pour l’instant encore autorisés avec les goûts tabac ? De nombreuses associations antivape tentent déjà d’enfoncer le clou. Truth Initiative a ainsi publié une déclaration félicitant la FDA et l’exhortant à « étendre ses efforts pour éliminer tous les produits du tabac aromatisés du marché, en particulier les cigarettes électroniques au menthol ».

Jim McDonald, de Vaping360, souligne aussi le risque lié au marché noir. En effet, « si moins de la moitié des Américains choisissent des cigarettes au menthol, plus de 80 % des fumeurs noirs les préfèrent ». Un marché parallèle difficile à contrôler, avec des risques de violences policières et de peines d’emprisonnement disproportionnées. 

Dans tous les cas, l’interdiction n’entrera pas en vigueur tout de suite. Après la consultation publique de soixante jours, la FDA produira un rapport final, ce qui pourrait prendre un an. Elle fixera ensuite une date pour la mise en œuvre de la loi, ce qui pourrait la décaler de plusieurs mois. Et les fabricants de tabac poursuivront très certainement l’agence, ce qui devrait encore retarder le processus de quelques mois. Cela devrait notamment être le cas de Reynolds American (filiale de British American Tobacco), propriétaire de la marque de menthol Newport, la plus vendue aux États-Unis, qui représente la moitié de ses revenus.

États-Unis : les médecins toujours à l’ouest en matière de vape

Si les idées reçues ou le manque d’informations sur la cigarette électronique sont encore monnaie courante chez les politiques, il en va de même parmi les médecins. Aux États-Unis, du moins. Dirigée par Cristine Delnevo, Michelle Jeong et Arjun Teotia, de l’Université Rutgers du New Jersey, une étude s’est intéressée à la communication entre les praticiens et leurs patients sur la question du vapotage. Et les résultats sont sans appel : il reste du chemin à parcourir avant que la cigarette électronique ne figure en bonne place parmi les alternatives au tabac spontanément recommandées.

Entre 2018 et 2019, 2 058 médecins (cardiologues, obstétriciens, gynécologues, pneumologues, oncologues…) ont été interrogés sur le sujet. 69,8 % d’entre eux déclarent avoir été sollicités par leurs patients sur l’intérêt de l’e-cigarette. Principal enseignement : plus de 60 % des médecins pensent que tous les produits du tabac sont aussi dangereux que la cigarette combustible. Une méconnaissance que l’on a pu constater dans une autre étude publiée en août 2021. Aux États-Unis, des chercheurs ont interrogé 926 professionnels de la santé dont 85 % croyaient que la nicotine provoque le cancer ! 

« À mesure que les preuves scientifiques de l’efficacité de la cigarette électronique pour arrêter de fumer augmentent, la compréhension des médecins doit suivre le rythme », affirment les auteurs de l’étude.

Les patients en quête d’informations sur la vape

Si l’on entre dans les détails, on discerne toutefois quelques différences. Les pneumologues et les cardiologues sont les plus à même de recommander l’e-cigarette comme solution de sevrage. Il en va de même pour les médecins ayant déjà fumé eux-mêmes. Mais, dans tous les cas, ces conseils n’ont été donnés qu’à la demande des patients. Seuls 21,7 % des médecins interrogés ont spontanément évoqué la vape.

Les chercheurs ont également demandé aux médecins ce qu’ils recommanderaient à deux patients de profils distincts désireux d’arrêter de fumer : une jeune femme qui fumait peu et qui n’avait pas encore essayé d’arrêter ; et un homme, plus âgé, qui fumait beaucoup et avait fait plusieurs tentatives en utilisant différentes méthodes. Résultat : les médecins étaient beaucoup plus susceptibles de recommander une cigarette électronique aux gros fumeurs, tandis qu’ils suggéraient aux fumeurs légers d’autres produits approuvés par la FDA.

 « Ces résultats montrent qu’il est essentiel de répondre aux idées reçues des médecins et de les former sur l’efficacité des cigarettes électroniques, concluent les auteurs. Il faut notamment corriger l’idée selon laquelle tous les produits du tabac sont indistinctement nocifs, alors qu’il est clairement établi que la cigarette combustible est de loin la plus dangereuse. »

Vape Cellar : collection Umani

♦ Belem : évocation pâtissière autour de la vanille.

♦ Snatch : évocation pâtissière autour de l’arachide et du caramel.

♦ Sutoroberii : évocation pâtissière autour de la fraise.

♦ Amanda : évocation pâtissière autour de la poire.

♦ Macaboise : évocation pâtissière autour de la framboise.

♦ Pomsis : inspiration sensorielle autour de la pomme et du cassis.

♦ Anzu : inspiration sensorielle autour de l’abricot.

♦ Wildstraw : inspiration sensorielle autour de la fraise des bois.

♦ Green Fairy : inspiration sensorielle autour de l’absinthe.

♦ RedWood : inspiration sensorielle autour d’une sélection de fruits rouges. 

♦ Ornicar : inspiration sensorielle autour de la menthe fraîche.

♦ Painaporo : inspiration sensorielle autour de l’ananas.

 

Disponible en format Mix & Vape : flacon de 60 ml rempli à 40 ml, sans nicotine, avec deux flacons de 10 ml aromatisés en 19 mg de nicotine.

Également disponible en format Tripack : 3 x 10 ml, en 0, 3, 6, 11 et 16 mg de nicotine

 


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Aspire – Flexus Q

À première vue, ce pod n’a rien de révolutionnaire. Il dispose de cartouches de 2 ml, remplissables. Celles-ci peuvent embarquer des résistances amovibles et le tout se clipse sur une batterie rectangulaire. Classique. Quand on le prend en main, on perçoit immédiatement la qualité des finitions et des matériaux. Le Flexus Q dispose d’un bouton en façade, qui sert à allumer, à éteindre, ou à naviguer entre les trois modes de puissance, voire de vapoter si l’utilisateur préfère cela au déclenchement automatique à l’aspiration. Au dessous du switch se situe un indicateur lumineux qui renseigne sur le mode de puissance sélectionné, et sur l’autonomie restante. Enfin, sur la tranche, idéalement placé, un airflow coulissant permet de modifier le tirage, du RDL au MTL très restreint.

Une recharge ultra-rapide

La vraie promesse faite par ce kit, c’est que son utilisateur ne verra jamais sa patience mise à rude épreuve à cause du délai de rechargement de la batterie. En effet, l’appareil peut se recharger à 80 % en seulement… dix minutes ! Même pas le temps de faire un coil pour son dripper… Cela est rendu possible par la connectique Q-Quick USB-C qui autorise un courant d’entrée d’une intensité de 3 A. On atteint ainsi une augmentation de 300 % de la vitesse de chargement en comparaison des produits précédents de la marque.

De nouveaux coils

Les résistances sont elles aussi toutes nouvelles. Leur nom fait d’ailleurs référence au modèle, puisqu’il s’agit des AF (Aspire Flexus) coils. Leur spécificité : une grille de mesh a été placée verticalement, sur la surface intérieure du coton. Cela produit une vapeur plus réactive, dense et pleine de saveurs. Pour remplir les cartouches, il suffit de les retirer de leur logement puis d’ouvrir la petite fenêtre obstruée par un bouchon en silicone. L’expérience de vapotage est, avec ces résistances et l’airflow très bien étudié, des plus agréables.

La cartouche du Flexus Q fonctionne avec des résistances amovibles.

Caractéristiques 

Types de vape : RDL/MTL

Dimensions : 112,8 x 22,8 x 14,2 mm

Contenance : 2 mL

Résistances : Mesh 0,6 Ω (15-18 W)/Mesh 1 Ω (12-15 W)

Batterie : 700 mAh

Charge : USB-C 5 V/3 A


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